Infos et entraide au sevrage des benzos : RESERVE AUX ACTIVISTES INFORMATIONS PSYCHOTROPES ET MEDICAMENTS, SEVRAGE DES PSYCHOTROPES, ENTRAIDE, LUTTE CONTRE LES PRESCRIPTIONS DE PSYCHOTROPES, INFORMATIONS SANTE, INFORMATION DES VICTIMES, MEDICAMENTS DANGEREUX... |
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| 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge | |
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+8pouleto Shiki08 victoire wombali nadege michel Drogbatus benzohell colas 12 participants | |
Auteur | Message |
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pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Mer 31 Mai - 22:32 | |
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| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Mer 31 Mai - 22:56 | |
| Guerir je ne sais pas, tout ce que je sais cest que tant que le cerveau ressens toujour le danger partout autour de lui il ne peu pas se reparer .
je me suis rendu compte moi meme de la capacité dun cerveau teroriser et qui se sent en danger est capable de declencher en terme de stimuli et de symptomes
Un autre exemple tres con lorsque jaccompagnais ma mere en course au moment de mette les course sur le tapis de la caissiere tout mes muscles se paralysait, juste porter un article du cadis et le metre sur le tapis mon coeur battait a fond et jetais au bord de levanouissement avec des symptomes neurologique bizar juste porter un miserable paquet de pate me rendait mal et me paralysait presque ans savoir pourquoi alors je me suis mis a eviter cette situation pour eviter les symptomes en me disant que sa passerait.
Cest jamais parti en 3 ans jusqua recement ou je nais pas eu le choix de mettre tt le cadis seul sur le tapis car ma mere etait rerourner dans le magasin chercher un truc
Cetait evidement atroce et bien cru que je creuvais, mais je ne suis pas tomber jme suis senti hyper mal mais je lais fais. Jme suis alors dit ben jlai fait cetait inconfortablr mais jlai fait, puis une autre fois et a force de repetition maintenant jai de moins en moins voir pu du tout ces symptomes bizard qui se declenche pdt cette situation. Cest donc un stimuli de moins et du stress en moins pour mon cerveau
Pour moi la neuroplasticité reelle cest sa, cest transformer une reaction inadequate de cerveau a une situation i adequate en rendant la reponse normale a force de repetition le cerveau compris que il ny avait pas de danger et creer de nouveaux reseaux de neurones et effacer lancien creer lors du sevrage.
Pour guerir selon moi il faudrait surement faire une liste complete de tout les mauvais message du corps en fonction de tel ou tel stimuli et essayer de les modifier avec la repetition pour annuler le plus possible ce sentiment de danger dans lequel le corps sest figer
Enfin ce ne sont que des exemples situationnelles je pense bien que sa ne fasse pas de miracles pour les douleurs meme si pour moi tout est lier qd meme
Un systeme limbique bloquè en etat de danger engendre une cascade dinflamation dans le corps et surtout un bouleversement complet du systeme nerveux autonome qui aboutie a fibromyalgie fztigue chronique et compagnie
La difficulté reside a identifier le pk du comment le cerveau se sens en danger pour calmer le systeme limbique pour que la dominance du systeme sympathique ( etat de danger ) diminue et que le parasympathique reprenne le dessus car lhomeostasie nopere quen etat parasympathique.
Alors tout sa cest beau sur le papier et pas tester pour le syndrome prolongé de benzos. Mais bon si on doit chercher un peu despoir pk pas | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Mer 31 Mai - 23:40 | |
| Tu pourrais aussi dans un premiee temps tinteresser aux nombre de calories que tu manges car sans gluten sans lait sans viande et compagnie ben la 1ere erreur que font tout les vegan cest croire que cest saint de manger que des fruit et des legumes mais si tu mange moins de 1800 2000 calories pzr jour ben ton organisme a pas assez denergie pour couvrir son besoin pour juste respirer en etant coucher sans faire dactivité alors cest illusoire de croire quil peu se reparer sans un surplus denergie
Sachant qune salade cest meme pas 50 calories et qune portion de riz normal meme pas 200 calories. Si tu na pas eté assez renseigner sur tout sa tu peux deja te sentir un peu mieu en corrigeant sa
Les gens qui vont vegan doivent avoir un corps saint et un systeme nerveux de base en pleine forme. On fait pas ce genre de regime comme sa a lavzuglzlette jen ais payer le prix fort aussi de tout ces regimes a la con qui etait selon moi une erreur de plus sur mon tableau | |
| | | corinne20072017
Messages : 25 Date d'inscription : 31/05/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 7:44 | |
| Dis donc Pouleto je pense que (malgré tous les gros mots que tu dis ) tu es un génie !!! Non mais vraiment, ces pistes de réflexion sont géniales. Garde courage et garde foi, tout de même, si tu arrivais à guérir dans six mois ou même un an ou même deux grâce à toutes tes réflexions et observations, tu serais beaucoup moins malheureux ! Certes aujourd'hui cela te semble inimaginable, ton esprit ne peut même pas se figurer ça. Mais d'après ce que tu dis ce serait vraiment possible, avec un repérage préalable des associations les plus bizarres (sans doute liées aux moments de sevrage aigu où nous avions des réactions dévastatrices de terreur sans lien avec un stimuli réellement menaçant, que nous n'avons pas enregistrées consciemment mais uniquement "neurologiquement") ; et un réentraînement méthodique (sans oublier la résolution du Syndrome de Stress Post Traumatique). NB : je ne veux pas insister mais je pense que cela pourrait être bien pour toi d'avoir une aide extérieure, de mon côté je n'aurais pas pu résoudre mon syndrome de stress post traumatique sans mon neurologue. Les phobies totalement irrationnelles à mon avis viennent de là. Je ne pourrais pas exactement te décrire comment ça marche, mais il est bien certain que j'ai fait des progrès incroyables en un an et demi dans ce domaine. Parfois le simple fait de lui décrire une association traumatique la faisait disparaître (je pense moi aussi au passage en caisse au supermarché ; chez moi, la fixation s'était faite au : moment de passer ma carte bleue j'avais un déclenchement traumatique violent ; je l'ai décrit à mon neurologue et c'est parti tout seul à ce moment-là). Je pense que c'est parce qu'au moment de mon sevrage violent j'ai dû avoir une réaction aigue de terreur au passage en caisse (phobie sociale, agoraphobie, ces symptômes étaient monstrueux l'année de mon sevrage) et que ça s'est bloqué sur : le moment où je passais ma CB et où je tapais mon code. Ensuite évidemment, comme tu vis toute ta vie en terreur, pendant des années, tu bloques sur tout ! tu as des réactions de terreur et de malaise incroyable à tout, mais tout, tout, tout ! Et tu ne les identifies pas du tout, comme tu dis, il suffit parfois d'un trigger imperceptible consciemment... et que tu imprimes pourtant et qui déclenche de violents symptômes que tu ne peux plus associer à rien, puisqu'ils sont là tout le temps... puisque... tout te déclenche !!!! Mais nous pouvons petit à petit débrouiller les fils de cet horrifiant imbroglio. Une des étapes récentes de ma libération, ça a été d'identifier* et de commencer à me libérer de l'horrible situation de harcèlement moral (juste, cette année !) dans laquelle je me trouvais par rapport à trois médecins du comité médical départemental du Val-de-Marne qui se plaisaient à me convoquer pour des entretiens au cours desquels ils me traitaient de menteuse, de simulatrice, de profiteuse, etc. Et ce depuis le début de l'évolution (2008). Ce qui fait qu'à chaque fois ensuite que je recevais un courrier du comité médical, de convocation à un entretien avec un médecin... tu imagines bien l'association monstrueuse de stress post traumatique... n'importe quel courrier un peu officiel, me refusant de l'aide (90% de mes demandes d'aide se sont soldées par un refus - dernier refus en date : 27 mai 2017 ; pour te dire l'horreur de notre système de santé, une fois que tu as une maladie IATROGENE, que tu n'es donc plus du tout dans les cases de la pensée monolithique et immensément stupide de notre médecine "moderne" - en fait, incroyablement arriérée ! -, tu es un véritable pestiféré !) ; chaque courrier un peu officiel, donc, me convoquant à de nouveaux entretiens avec des médecins dans le déni, au bout d'un moment, toutes les fois que j'ouvrais ma boîte aux lettres, toutes les fois que j'ouvrais ma boîte mail, j'étais traumatisée... Au bout d'un moment, même, le téléphone qui sonne, et tu ne te rends même plus compte, c'est un trigger de plus... tant de triggers non identifiés : la vie courante qui te déclenche, en continu... et il faut sans arrêt se remettre à ré-observer la totalité des triggers, puisque de nouveaux interviennent, à chaque vague de SSPB plus prononcée... ainsi par exemple, la dernière vague de douleurs extrêmes (ces derniers mois) a encore apporté son lot de triggers et de boucles de rétroaction des symptômes ; un exemple, pour te dire le degré de souffrance ; un soir je m'apprêtais à me coucher et j'ai vu que je ne voulais même plus aller dans mon lit, que j'avais peur de mon lit, que mon lit lui-même, réceptacle de tant de souffrances, devenait un trigger traumatique ! Mais il y en a eu tant d'autres... Seulement à présent j'ai un endroit où relier tout cela, (c'est l'échange avec mon médecin) ; alors qu'auparavant c'étaient les sables mouvants, de terreur en terreur, en trigger, en trigger (c'est l'impression que j'ai eue en te lisant, qu'il te manque un pôle de rassemblement ; le rôle que joue un cerveau non malade lorsqu'un choc lui vient de l'extérieur ; notre cerveau lui, ne peut plus faire la liaison ; car, toujours d'après mon neurologue, c'est l'instance même qui est censée répondre à un stress post-traumatique qui a été mise hors jeu par les psychotropes ; c'est pourquoi il faut l'aide d'un cerveau extérieur). Pour revenir à mon histoire de harcèlement moral : cette année encore ils m'ont convoquée, cette fois-ci j'ai refusé d'y aller (auparavant je n'arrivais même pas à avoir une conscience nette de combien cela me détruisait, alors même que j'en souffrais horriblement ! en fait, notre degré de vulnérabilité est exceptionnel, nous sommes véritablement sans défense). Je suis sans la moindre ressource depuis août 2016, ils me manipulent comme ça. Ils veulent me forcer à venir aux entretiens, au cours desquels ils me terrorisent et me font souffrir. Si c'est pas à mourir de honte, dans un pays comme le nôtre, de la part de personnes qui sont censées te soigner... Je pourrais entrer dans les détails, mais ça me fait encore souffrir et je n'aime pas en parler publiquement. J'en parlerai, cependant, publiquement, quand ça ne me fera plus souffrir, du rôle que les médecins ont joué dans la sur-sur-sur aggravation de mon SSPT et de mon SSPB. Pour moi comme pour mon neurologue, syndrome de stress post-traumatique (causé par le sevrage aigu) et syndrome de sevrage prolongé sont directement liés et s'entraînent dans une boucle insoluble (pour le moment ; mais ça va changer !). Contrairement à toi je ne pense pas qu'Ashton soit dépassée, au contraire, elle est très très consciente du phénomène de SSPT qui peut durer des années après le sevrage (y compris chez des personnes qui n'ont plus de SSPB !). Elle a fait un travail super rigoureux, sans elle on ne saurait même pas que le SSPB existe ! C'est elle qui a rédigé l'article de référence sur le syndrome de sevrage prolongé aux benzodiazépines. Ce qui me semble évident, c'est que chez certaines personnes, le SSPT maintient le SSP constamment vivant et impossible à résoudre... puisque nous sommes constamment re-traumatisés... (par les symptômes EUX-MEMES ! et la pression continue d'une souffrance délirante, qui ne peut être "dissoute" ou résolue dans la vie courante, puisque constante). Ca te parle ? Mon neurologue dit qu'il s'agit non pas d'un syndrome de stress post-traumatique (cela impliquerait que nous soyons éloignés de l'événement) mais : syndrome de stress traumatique (les chocs traumatiques continuent à se répéter). Mais résoudre tout cela permettrait de faire "dégonfler" le ballon de baudruche qu'est le syndrome de sevrage prolongé, et nous permettrait enfin de rejoindre la population normale, des personnes sevrées suivant le protocole Ashton, et d'avoir à notre tour une évolution classique de Windows and waves jusqu'à résolution complète. Allez courage Pouleto, tu sais, tu serais vraiment heureux si tu pouvais guérir. Continue à bien te battre comme tu le fais, avec toutes tes recherches, etc. Je suis très fière de ton courage ! PS : les choses ont été infiniment plus difficiles que je semble décrire, ainsi, pour sortir de l'impact du harcèlement moral que je décris plus haut, et qui a duré 9 ans au total, j'ai mis des mois et des mois, pendant des mois et des mois je ne réalisais même pas ce qu'ils me faisaient tellement j'étais cognitivement, psychiquement, etc. KO ; je savais qu'ils me faisaient souffrir et me traumatisaient, mais le mécanisme de leur emprise sur moi, je ne l'identifiais pas ; (je continuais à me rendre ! à des visites médicales où on m'humiliait !). Donc j'ai dû travailler constamment avec mon neurologue pour comprendre ce qui se passait psychiquement en moi. Tu vois ? C'est pour ça que je pense que ça pourrait t'aider énormément, Pouleto. Toute seule je n'y arriverais pas, le degré de notre souffrance est bien trop immense... le choc qu'on a reçu, bien trop violent, trop immense. *je n'ai pu le faire que grâce à mon médecin. Sinon j'étais beaucoup trop, trop, trop malade, en survie continuelle, je n'arrivais même pas à voir ce que l'on me faisait... Ca semble inimaginable une fois que tu le vois, bien sûr, avec le recul. Mais sur le champ tu ne vois rien, tu es cognitivement, psychiquement, existentiellement annihilé, tu ne peux pas du tout mettre les choses en perspective... C'est la terreur et la survie qui dominent. | |
| | | aixur
Messages : 72 Date d'inscription : 24/07/2013
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 11:09 | |
| Après avoir eu un régime frugivore pendant un temps, je pense que le problème des fruits, c'est que ça draine les sels minéraux du corps. Ceci parce que le sucre entraine une accumulation d'eau dans les cellules, puis, rapidement, un relargage de celle-ci. Du coup, les sels minéraux partent avec l'eau. Donc, on est en déficit de sels minéraux. Si les fruits actuels étaient plus riches en sels minéraux et moins en sucre, ça serait peut-être différent. Mais ça n'est pas le cas.
Or, je pense que les personnes qui se sèvrent de ce que j'appelle les analogues d'opiacés (benzo, calmants, somnifères, antidouleurs, etc...) sont en déficit de sels minéraux (et que certains symptômes post-sevrage sont liés à ça). Donc, adopter un régime contenant beaucoup de fruits après le sevrage ne doit pas être très bon. | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 12:11 | |
| - pouleto a écrit:
Jai pris mes distances avec toute cette communauté benzo de merde je comprend meme pas pourquoi michel se fait encore chier a maintenir son forum
parce qu'il est concerné par le prolongé et tente de répandre l'information pour que des gens comme toi comprennent plus vite ce qui se passe quand le syndrôme grave leur éclate à la gueule, c'est pas le médecin ou l'hopital qui va t'expliquer ce qu'ils t'ont fait, et c'est le seul forum qui parle de syndrôme prolongé nerveux grave, le reste soit il y a déni, soit ils n'y connaissent pas grand chose, d'ailleurs il n'y a même pas de rubrique pour ces personnes là, j'ai demandé à Thérèse d'en crééer une, elle m'a dit non, elle a ses raisons, c'est son forum après il ne reste plus que facebook, mais il n'y a que les jeunes qui y vont, c'est spécial, alors que le web, la plupart trouvent avec google | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 12:19 | |
| - pouleto a écrit:
Apres 10 ans je suis etonner que votre neurologue vous ais pas proposer de reprendre des benzos a vie, cest en tout cas ce que je mapprete a faire car je ne vois pas linteret de souffrir 10 ans pour ne pas vivre un minimum fonctionnel
parce qu'on ne peut être à vie sur les psychotropes, on finit par être en tolérance, à en prendre plus, et se retrouver avec le diabète et des paralysies, la plupart ne peuvent plus marcher, si tu lisais les personnes qui prennent à vie, ils n'ont pas de qualité de vie, ils perdent leur travail, leur famille, c'est pour ces raisons que certains se posent des questions et commencent à se sevrer, c'est parce qu'ils ne sont pas bien dessus ce serait trop facile, je bouffe à vie, donc les médecins sont gentils, le prozac est gentil, le labo est mon ami, je me sens en super forme déjà au bout d'un moment tu ne peux plus faire l'amour, si tu fais un gosse, il risque d'être autiste et ainsi de suite, tu parles d'une qualité de vie, et souvent tu ne marches plus | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 12:24 | |
| - pouleto a écrit:
La theorie du temps qui gueri est la plus grosse escroquerie jamais vehiculer par ces communauté benzos debiles, et ya pas quen france que je vois ca cest encore pire sur les forum etrangers.
c'est déjà la conclusion universelle de tous ceux qui ont guéri après un sevrage lent ou cold turkey, il n'y a que le temps qui guérit, mais toi tu en sais plus qu'eux, ce sont des cons les benzobuddies et survivingantidepressants | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 12:30 | |
| - pouleto a écrit:
- Matt samet est un putin dimposteur comme carole de suisse
Il na pas fait un arret brutal il a fait un sevragz etalé sur un ans et quelques de lequivalent de 200mg de valium peu importe la dureté de son sevrage a 2 ans de post sevrage il remontait sur son velo pour faire du sport extreme.
Il dit 7 ans car il a eu un setback en buvanr jusqua 20 café oar jour et en reprenant son hygiene de vie merdique davant
je suis d'accord avec pouleto effectivement, quand on pousse l'analyse, ces deux personnes n'ont jamais été en syndrôme nerveux grave alors qu'elles le prétendent, ce qui est lamentable car elles font du tort aux personnes réellement en syndrôme grave en véhiculant de fausses informations | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 12:42 | |
| - pouleto a écrit:
- Guerir je ne sais pas, tout ce que je sais cest que tant que le cerveau ressens toujour le danger partout autour de lui il ne peu pas se reparer .
je me suis rendu compte moi meme de la capacité dun cerveau teroriser et qui se sent en danger est capable de declencher en terme de stimuli et de symptomes
Un autre exemple tres con lorsque jaccompagnais ma mere en course au moment de mette les course sur le tapis de la caissiere tout mes muscles se paralysait, juste porter un article du cadis et le metre sur le tapis mon coeur battait a fond et jetais au bord de levanouissement avec des symptomes neurologique bizar juste porter un miserable paquet de pate me rendait mal et me paralysait presque ans savoir pourquoi alors je me suis mis a eviter cette situation pour eviter les symptomes en me disant que sa passerait.
Cest jamais parti en 3 ans jusqua recement ou je nais pas eu le choix de mettre tt le cadis seul sur le tapis car ma mere etait rerourner dans le magasin chercher un truc
Cetait evidement atroce et bien cru que je creuvais, mais je ne suis pas tomber jme suis senti hyper mal mais je lais fais. Jme suis alors dit ben jlai fait cetait inconfortablr mais jlai fait, puis une autre fois et a force de repetition maintenant jai de moins en moins voir pu du tout ces symptomes bizard qui se declenche pdt cette situation. Cest donc un stimuli de moins et du stress en moins pour mon cerveau
Pour moi la neuroplasticité reelle cest sa, cest transformer une reaction inadequate de cerveau a une situation i adequate en rendant la reponse normale a force de repetition le cerveau compris que il ny avait pas de danger et creer de nouveaux reseaux de neurones et effacer lancien creer lors du sevrage.
Pour guerir selon moi il faudrait surement faire une liste complete de tout les mauvais message du corps en fonction de tel ou tel stimuli et essayer de les modifier avec la repetition pour annuler le plus possible ce sentiment de danger dans lequel le corps sest figer
Enfin ce ne sont que des exemples situationnelles je pense bien que sa ne fasse pas de miracles pour les douleurs meme si pour moi tout est lier qd meme
Un systeme limbique bloquè en etat de danger engendre une cascade dinflamation dans le corps et surtout un bouleversement complet du systeme nerveux autonome qui aboutie a fibromyalgie fztigue chronique et compagnie
La difficulté reside a identifier le pk du comment le cerveau se sens en danger pour calmer le systeme limbique pour que la dominance du systeme sympathique ( etat de danger ) diminue et que le parasympathique reprenne le dessus car lhomeostasie nopere quen etat parasympathique.
Alors tout sa cest beau sur le papier et pas tester pour le syndrome prolongé de benzos. Mais bon si on doit chercher un peu despoir pk pas ce que tu expliques est le processus normal, au bout d'un certain temps l'agoraphobie diminue, les choses qui te paralysaient diminuent, comme regarder la bande de la caisse, ou un mur ou une enfilade d'arbres etc, c'est tout simplement des choses qui se remettent en place et se calment d'elles-mêmes, donc tu pourras faire de plus en plus de choses qui étaient impossibles avant, ce n'est pas vraiment tes exercices qui font, c'est que tu es devenu capable à nouveau d'enregistrer, d'avancer et de faire des exercices que tu ne pouvais pas faire il y a un an je t'avais dit que j'ai eu des améliorations à 4.5 ans, tu es plus jeune, tu suis le chemin classique, c'est le temps qui te guérit un peu, comme le dit benzobuddies | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 12:44 | |
| - colas a écrit:
- pouleto a écrit:
La theorie du temps qui gueri est la plus grosse escroquerie jamais vehiculer par ces communauté benzos debiles, et ya pas quen france que je vois ca cest encore pire sur les forum etrangers.
c'est déjà la conclusion universelle de tous ceux qui ont guéri après un sevrage lent ou cold turkey, il n'y a que le temps qui guérit, mais toi tu en sais plus qu'eux, ce sont des cons les benzobuddies et survivingantidepressants Ouai jen sais plus que eux parce que les blaireaux qui ont vehiculé cette theorie a la con sont des gens qui ont gueris en 2-3 ans comme samet et carole suisse Elles sont ou les preuves que le temps a gueri ceux qui ont depassé les 3 ans ? Moi jen ai jamais vu tous flinguer 10 ans apres. Si ton cas a toi personnel te permet pas de conclure que le temps gueri quedal ben ta de la merde dans les yeux parce que le temps ta servi a quedal 8 ans apres La seule chose qui guerit cest un sevrage lent stabiliser point barre, cest la seule chose qui evite le choc traumatique au cerveau. Ceux qui guerissent dun arret brutal sont juste beni des dieux moi jen ai pas vu beaucoup dire qui etait redevenu normal apres un CT. 2-3 ptet | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 13:16 | |
| bonjour Corinne 20072017, je me rappelle les coccinelles 9 points que je lisais à mes débuts, puis plus rien pendant des années, puis un jour je t'ai vue en photo à opéra avec Audrey et ton petit chien moi je ne peux plus circuler à Paris comme je le faisais avant, j'habite près de Paris je suis âgé, bientôt 67, et handicapé à cause du déroxat, c'est pareil que les benzos, quand on réagit mal, c'est sauve qui peut on peut mal réagir avec un yoyo unique, une petite dose, un oubli ou même en prenant quotidiennement sa dose sans aucune raison logique...
moi je ne m'occupe pas des personnes style celles chez Thérèse, déjà il y a des personnes qui le font très bien, donc je ne vais pas venir crééer un concurrent; dans ce forum les personnes semblent s'en sortir, il n'y a pas de rubrique pour les prolongés, je pense que Thérèse commence à se rendre compte qu'il y a quelque chose mais ne l'ayant pas vécu, a du mal à comprendre, d'ailleurs si un prolongé arrive, il s'en va de lui-même ou est aidé par la communauté à voir ailleurs si j'y suis, il faut du temps il faut dire que le prolongé fait peur, c'est comme si on annonçait qu'on a le cancer, les personnes fuient, dénient quand je vois la réponse d'une spécialiste comme Carole de Suisse à Pouleto, les bras m'en sont tombés alors si Carole ne sait pas de quoi on parle, comment veux-tu que les autres comprennent ...
pour les syndrômes graves, il n'y a rien, donc j'ai fait mon petit site, et suis content qu'il y ait ce forum, pas trop pour moi, étant à 8 ans je suis comme toi, mais c'est pour les autres, là-dessus il y a les sites de Michel, ce qui leur manque c'est des conclusions personnelles, et le caractère de Michel qui est extrême parfois, mais c'est ce qui le fait tenir depuis tant d'années je pense, sinon il n'y a plus que facebook pour certains
les gens qui s'en sortent en deux ou trois ans et retravaillent ne m'intéressent pas trop, même pas du tout, Thérèse s'en occupe mieux que moi et Carole de Suisse aussi, c'est plutôt les autres qui sont importants, ceux qui ne s'en sont pas sortis à 5, 10 ans je ne peux que leur donner des infos
le problème ce n'est pas ceux qui retravaillent, c'est les autres, les syndrômes nerveux graves prolongés, benzos ou antidépresseurs
et je ne parle pas des dramatiques neuroleptiques, thymorégulateurs dont je n'ai pas de connaissances, je laisse cela à d'autres
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| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 13:27 | |
| - pouleto a écrit:
Ouai jen sais plus que eux parce que les blaireaux qui ont vehiculé cette theorie a la con sont des gens qui ont gueris en 2-3 ans comme samet et carole suisse
Elles sont ou les preuves que le temps a gueri ceux qui ont depassé les 3 ans ? Moi jen ai jamais vu tous flinguer 10 ans apres.
Si ton cas a toi personnel te permet pas de conclure que le temps gueri quedal ben ta de la merde dans les yeux parce que le temps ta servi a quedal 8 ans apres
La seule chose qui guerit cest un sevrage lent stabiliser point barre, cest la seule chose qui evite le choc traumatique au cerveau.
Ceux qui guerissent dun arret brutal sont juste beni des dieux moi jen ai pas vu beaucoup dire qui etait redevenu normal apres un CT. 2-3 ptet pourtant, si tu lis n'importe quel témoignage benzo ou ad des personnes qui s'en sont sorties, elles disent toutes qu'il faut être patient et que c'est le temps qui leur a permis de guérir, je parle des "guérisons", de ceux qui ont réussi, c'est leur chemin qui m'intéresse, ce qu'ils en pensent | |
| | | corinne20072017
Messages : 25 Date d'inscription : 31/05/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 20:40 | |
| Bonjour Colas, merci pour ton message, c'est de te lire qui m'a motivée à écrire, tu te demandais où étaient les autres, moi je ne pensais pas que cela pouvait apporter quoique ce soit que je donne de mes nouvelles (si "désespérantes"), et puis j'ai fini par comprendre (en te lisant) que même désespérantes, elles pouvaient apporter quelque chose (une info, un angle d'approche différent, etc.). On peut finir par recouper des informations qui peuvent nous aider, c'est bien l'idée de départ d'ailleurs... Du coup, je dois préciser que je ne pense pas vraiment ce que j'ai dit, que Michel est trop généreux de son temps : je pense qu'il a quand même bien raison de l'être, parce que ça aide énormément de gens... sans lui, nous n'aurions pas cette occasion de mieux nous comprendre (les uns les autres, et chacun, soi), en échangeant et aussi en opposant des points de vue. Michel a un caractère et des réactions extrêmes, en effet ! Il va nous lire, ça va le faire rire... ou bisquer ! Mais avec le temps j'ai bien compris que s'il avait un caractère terrible, il avait aussi un cœur plus grand que beaucoup d'entre nous (que moi par exemple). Car il s'énerve beaucoup et dans le même temps il est le n°1 pour continuer à répandre, inlassablement, et partout, l'information qu'il a mieux comprise, et plus tôt, que tout le monde ; il a une intuition profonde, depuis le début, de la façon dont on s'est fait manipuler, à très très très grande échelle. Il a compris presque tout de suite que les benzos n'étaient que la face émergée de l'iceberg (et encore, très mollement émergée). Etc. Mais je pense que ce constat d'un caractère mixte vaut pour nous tous, et nous toutes, et de même je pense que Carole, qui vous a apparemment énervés, parce qu'elle ne comprend peut-être pas ce qu'est le syndrome de sevrage prolongé, a de même de très grandes qualités qu'elle met à disposition de tous (alors que 99% des gens viennent, prennent l'info, te reprochent de pas les aider, si tu les aides, te disent que tu es payé, ou que tu les aides mal - moi j'ai vraiment eu ce genre de réflexion, ce n'est pas de la blague !). Carole fait donc partie des 1% de gens, ou 0,01% de gens, qui ont morflé, et qui disent : je veux que ça change, je veux changer le système, pour les autres. Et cela vaut pour Thérèse aussi, et pour toutes les personnes qui aident, minutieusement, à faire des sevrages lents, pour éviter le délire que nous avons à vivre (c'est d'ailleurs ce que tu dis et tu as bien raison !). Malheureusement quand on souffre comme on souffre nous, on a tendance à s'en vouloir les uns aux autres, alors que notre ennemi commun, principal, ce sont : les labos et le système de santé national et international corrompu jusqu'à la moelle... Alors, on se fait des reproches qui n'ont pas vraiment de sens, c'est mon avis. Le vrai reproche, on n'ose pas l'adresser complètement à un système qui est si fort qu'il ne permet même pas d'obtenir justice* pour nos vies gâchées ! Ou alors, on le fait, mais on n'a pas les moyens de se battre ! Je disais cela à quelqu'un, je lui disais, "je n'arrive même pas à me défendre" ; et la personne m'a dit : mais on t'a mise "hors d'état de nuire !". C'est vrai... Quand tu es privé de toutes tes facultés... que toute ton énergie doit être utilisée à survivre... c'est très très dur de te battre contre un géant ! En fait je crois qu'il y a des choses qu'on ne connaît pas du tout... en fait, moi, je ne sais pas si c'est le temps qui guérit les gens en prolongé, ou si autre chose peut les aider ; si c'est un mix de temps et d'autre chose ; ou s'il n'y a qu'à attendre ; ou s'il y a des moments propices, etc. Je sais que de travailler (en profondeur) sur le syndrome de stress post-traumatique m'aide à me recentrer à fond (certaines années, j'étais non seulement en souffrance physique atroce mais aussi, en conséquence de la douleur physique, totalement dissociée, explosée mentalement, de souffrir tant... je souffrais atrocement psychiquement de l'intensité et de la répétition des journées ultra douloureuses)... C'est ce travail qui me permet, d'ailleurs, de revenir, sans souffrir le martyr psychiquement, de pouvoir parler des benzos, sans être monstrueusement malheureuse de ce qui a pourtant détruit ma vie, à tous les niveaux. Donc, il y a des choses qui aident, qui permettent "d'aménager" un peu, de réduire un peu la souffrance... Est-ce que par hasard ce serait toi qui a fait le site dans lequel tu parles d'un réalignement des systèmes qui se ferait comme la résolution d'un rubik's cube ? Si oui, chapeau, c'est vraiment très intéressant. Et dans ce cas, toi-même tu parles d'un moment, d'une forme de "crise d'appprentissage", d'un moment où on pourrait récupérer soudain plus... Donc le temps nous permettrait de récupérer un peu, et à ce moment-là, sur une phase de récupération, des exercices de neuroplasticité pourraient nous permettre de récupérer plus, etc. En fait, je crois que personne n'a le fin mot sur ce qui nous est réellement arrivé (le degré de dégât infligé aux neurones, et la nature du dégât) ; ni sur la façon dont on pourrait, pourra, s'en sortir, si c'est possible ; ou récupérer, un maximum, pour avoir des vies, "vivables". Tu sais je pense que le Deroxat est vraiment terrible, il y a d'ailleurs eu une class action énorme aux Etats-Unis, mais les labos ont payé des sommes énormes pour que l'affaire ne s'ébruite pas... Je suis vraiment désolée que tu aies toi aussi payé le prix cher... Est-ce que tu arrives à trouver des compensations, des plaisirs, des choses qui te rendent la vie douce ? Comme tu l'as vu, moi j'ai ma petite chienne qui me rend bien heureuse, malgré tout. Accepter cette situation qu'on ne maîtrise pas, ou qu'on ne maîtrise pas, en majeure partie, ça fait émerger une façon différente de voir la vie... et des satisfactions minimales qui ne nous auraient jamais comblés auparavant... et qui nous comblent davantage qu'elles ne comblent les bien-portants, qui prennent leur santé pour acquise. Est-ce que tu as remarqué des points d'évolution intérieure dans ce sens, toi aussi ? Qu'est-ce qui te fait du bien, qu'est-ce qui t'apporte un réconfort, une consolation ? Bon courage ! Ou plutôt : bravo pour ton courage ! *c'est pour ça que j'aime bien la journée W-BAD. Pour moi, c'est un reproche adressé aux bonnes personnes : les autorités sanitaires. C'est pour ça que j'aime y participer, je sais que je suis en colère contre qui le mérite.
Dernière édition par corinne20072017 le Jeu 1 Juin - 21:11, édité 2 fois | |
| | | corinne20072017
Messages : 25 Date d'inscription : 31/05/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 20:42 | |
| Merci Aixur, c'est vrai que je mange beaucoup de fruits, mais pas que ça, heureusement... en fait, j'essaie d'écouter un peu mon corps, je pense qu'il a des intuitions sur ce dont j'ai besoin... | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 21:06 | |
| La depersonnalisation dissociation est mon pire symptome au point que je crois etre slyzophrene souvent et sa me rend suicidaire
3 ans de dissociation severe cest juste une torture mentale
Meme la terreur agpraphobie panique est toujour la 3 ans apres
Sans ca je pense que ce serait supportable et deja plus simple a accepter | |
| | | corinne20072017
Messages : 25 Date d'inscription : 31/05/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Jeu 1 Juin - 22:15 | |
| Pouleto ça me fend le cœur de lire ce que tu écris, car je le sais vrai, et je ne l'imagine que trop bien le degré extraordinaire de souffrance psychique, d'origine chimique, que tu as à vivre. Cependant il faut que tu t'accroches, je te vois chercher et trouver des réponses et des idées que je n'aurais jamais eues, moi, il y a 7 ans... Je pense que quelque part au fond de toi il y a déjà une solution pour toi qui est en train de germer, de faire son chemin, que tu la découvres peu à peu... tu vas la développer à fond, t'appuyer dessus, garder espoir (ça aide déjà beaucoup !).
Et donc, en tant que ton aînée, je te suggère d'abandonner toute certitude. Tu te désespères en pensant que tu ne guériras jamais. Tu te désespères en te projetant NON GUERI dans dix ans. Le fait de dire "mais en prolongé, plus personne ne guérit", ça te rend dingue d'angoisse, parce que ça veut dire Pouleto à 39 ans malade comme Corinne.
Mais ON NE SAIT PAS !!!
Or, Pouleto il cherche et trouve plus d'info que n'en trouvait Corinne à 33 ans...
Donc avec ses infos, Pouleto va peut-être réussir à trouver une façon d'aller beaucoup mieux, et ensuite de se guérir.
Moi je pense absolument, je sais que ça n'entre pas, mais je le redis, que tu bénéficierais énormément d'un soutien extérieur.
Il FAUT que tu trouves qqn de suffisamment solide et intelligent pour entendre et t'aider à résoudre cette extraordinaire souffrance. Il faut que ces angoisses monstrueuses trouvent un endroit contre lequel s'arrêter, pour ensuite se dissoudre dans le dialogue.
Je disais cela exactement tout à l'heure à une autre personne en prolongé.
Le système de modulation des angoisses ne fonctionne plus chez nous ; et du coup tu es coincé de terreur en terreur et tu as ensuite, comme c'est normal, peur de la terreur... tu es en système de terreur totale en permanence...
Ca me fait beaucoup de peine de lire ça.
C'est une souffrance horrible.
Mais il faut que tu trouves quelqu'un pour commencer à partager avec l'extérieur ce que tu vis ; pour pouvoir avoir un "pôle" de rassemblement.
Déjà le forum c'est un bon pôle pour toi.
Mais ne perds pas ton temps à te demander, qui a dit quoi sur son syndrome prolongé. Tout ça ce sont des symptômes benzos de toute façon, d'être aussi en colère contre les gens, etc.
Tu es en pétage de plombs permanent, car tu souffres beaucoup, beaucoup, beaucoup trop et depuis trop longtemps.
Mais je t'assure que tu es en train de trouver des choses qui vont te permettre d'aller mieux.
Cependant, il te faut une aide extérieure ! J'en suis persuadée. On ne peut pas souffrir comme ça sans un soutien sans faille, qui t'aide à te reconstruire.
Tu as un horrible syndrome de stress post-traumatique, qui se nourrit en continu de tes symptômes.
Il faut que tu puisses le résoudre et pour cela je crois qu'il faut que tu puisses raconter ce qui t'est arrivé (moi c'est comme ça que je suis en train de résoudre mon SSPT).
Raconter en détail le CALVAIRE inimaginable, en long, en large, et en travers.
Jusqu'à ce que ça fasse sens pour toi, jusqu'à avoir fait ton deuil d'une existence "anodine" ou même "vaguement souffrante" ou même une existence "dure". Ce que tu as vécu, ce que tu vis, ça fait de ton existence une existence EXCEPTIONNELLEMENT dure, donc tu as besoin d'un degré d'aide exceptionnel.
Ensuite, à partir du moment où tu n'auras plus de crise DP/DR et plus de dissociation, tu dis que "ça pourrait aller" ; mais bien plus, ensuite tu serais d'attaque pour commencer ton programme de reprogrammation du système limbique.
Donc, je te conseille absolument de te pencher sérieusement sur la question de la résolution de ton SSPT. Il est la clef qui te permettrait de te stabiliser suffisamment, pour ensuite : aller mieux et (espérons !) de mieux en mieux.
Courage ! | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 9:57 | |
| Corinne ce ne sont pas des crises de dp/dr je suis bloqué h24 7 jour sur 7 en dissociation comme si quelque chose avait peter dans mon cerveau. Cesr pour sa que je me comparais a toi qui meme a 20 mois de post sevragz disait quelle etait deja revenu lancienne corinne pas agpraphobe pu de panique etc sur la page que tu avais redigee
Moi je nais jamais eu une seule fenetre de reqlité en 3 ans bmoqué
Cest ce qui me fait dire que mon seul salut sera vers un medoc pour calmer mon corps qui est bloqué en etat de stress intense car sa me tue a petit feu | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 12:14 | |
| - corinne20072017 a écrit:
Mais je pense que ce constat d'un caractère mixte vaut pour nous tous, et nous toutes, et de même je pense que Carole, qui vous a apparemment énervés, parce qu'elle ne comprend peut-être pas ce qu'est le syndrome de sevrage prolongé, a de même de très grandes qualités qu'elle met à disposition de tous (alors que 99% des gens viennent, prennent l'info, te reprochent de pas les aider, si tu les aides, te disent que tu es payé, ou que tu les aides mal - moi j'ai vraiment eu ce genre de réflexion, ce n'est pas de la blague !). Carole fait donc partie des 1% de gens, ou 0,01% de gens, qui ont morflé, et qui disent : je veux que ça change, je veux changer le système, pour les autres.
Et cela vaut pour Thérèse aussi, et pour toutes les personnes qui aident, minutieusement, à faire des sevrages lents, pour éviter le délire que nous avons à vivre (c'est d'ailleurs ce que tu dis et tu as bien raison !).
ils ont fait ou font un très bon travail pour les gens qui ne sont pas en prolongé, mais comme ils sont nuls en prolongé, je parle surtout de Carole qui m'a énormément déçu, elle qui cite Breggin, elle' détruit tous mes efforts face aux syndrômes prolongés, elle est obtue à un point que je n'imaginais pas, et comme elle est très influente, au nom des prolongés qui souffrent, je suis obligé de la contredire, pour moi c'est lamentable, être obligé de me battre parce que une personne qui a aidé pour pour les sevrages classiques détruit mon humble oeuvre, elle était sur ce forum qui lui a ouvert les yeux et ne pensait pas un mot de ce que lui disait Michel, ou toi, ta situation, une honte ce déni quand j'ai vu comment elle a répondu à Pouleto sur l'autre site, c'est cruel et preuve d'incompétence totale pour quelqu'un qui veut écrire des livres sur le sujet, elle a gâché tout ce qu"elle a fait avec ses vidéos même Thérèse qui n'a pas tout compris, se rend compte qu'il y a quelque chose | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 12:37 | |
| Avec le recul je commence a penser, je dis bien "commence" a comprendre un peu mieu l'approche de Carole, qui certes n'avais peut être pas des symptômes aussi violent que nous ici, mais pour avoir eplucher le programme de réentrainement du systeme limbic que j'ai recu, c'est précisément tout ce que Carole a suivi et met en avant.
Et ce programme guéri des gens atteint de fibromyalgie, de fatigue chronique, de syndrome postural, de personnes hypersensibles au produit chimique, au champs electromagnétique, de douleurs dans le corps et compagnie, car tout traumatisme qu'ils soient induits chimiquement ou psychologiement après un mauvais épisode de vie se retrouve avec un système limbiaque hyperactif et qui se met à rependre de mauvaises réponses partout dans le corps, tout ceci relier au systeme de lutte/fuite constamment en marche, et qui induit l'adrenaline.
J'ai vu beaucoup de docteur en séminaire expliquer que la fibromyalgie n'avait rien d'une maladie lié au tissue musculaire et compagnie mais que ce n'etait que le resultat d'un système de lutte/fuite bloqué et donc un flow constant d'adrenaline qui attaque le corps de partout, car l'adrenaline active constamment le systeme sympathique et donc le corps ne peu pas se reparer et atteindre l'homéostasie tant qu'il n'est pas en mode calme.
Je ne valide pas encore cette théorie car je n'en suis pas encore guéri et n'applique pas encore à fond le concept du programme.
Mais tout ce que dit le programme c'est similaire à ce que dit Carole, qu'il faut avant tout ciblé l'anxieté et refonder toute ces pensées et son attitude car le système limbic fonctionne par chemins neuronaux, qui sont devenus inconscient, peu importe la manière dont ils sont apparus
Pour prendre un exemple simple, des gens se retrouvent avec de la fibromyalgie, ou un syndrome postural orthostatique comme moi après de simple accident de voiture, ou de choc emotionel, une grosesse , une grippe qui persiste et le cerveau se bloque et la personne attrape un syndrome postural du jour au lendemain, sans prise de benzos ou dantidepresseurs.
Les etapes à suivre de ce programme c'est simple, c'est arreter de focaliser sur les symptômes, arreter tout les forums, arreter de parler de la maladie avec les autres , arreter de chercher des solutions etc car ce ne fait qu'enfait que réenfocer ces chemins neuronaux faussé qui ont été créer par le systeme limbique après le traumatisme.
Et complétement redigiré la maladie vers la cause principale qui est, un disfonctionnement du systeme limbic qui est pris dans une boucle de faux messages, et redirigé ces faux messages.
Si on prend l'exemple de michel qui est constamment tout les jours a fouiner internet dans sa guerre contre les médecins, a entretenir son forum, et constmment revolté de ces symptômes qui omnubilent ses journées tout les jours, sa ne fait que maintenir son corps en etat de lutte/fuite, ca ne fait que confirmer la validation inconsciente que ses symptômes viennent des medoc et compagnie, Adrenaline, renforcement du chemins neuronal créer lors du disfonctionnement du système limbique et compagnie, un cerveau qui reste bloqué en alerte et systeme sympathique car tout les jours michel fait la guerre au medecin et compagnie
Corinne qui a été bloqué dans ce cercle d'harcelement, de lutte quotidienne des symptômes
Toi colas qui aussi au quotidien fait ton site, mange symptômes et vit symptômes
Enfin ce n'est qu'une piste car pas validé par moi même, mais si des gens déclenchent aussi de la fibromyalgie, des hypersensibilité au lenvironemet et compagnie sans prise de benzo/ad juste après des traumatisme physique ou psychique, et arrive à se soigner en reprogrammant ce système limbic, pourquoi pas quelqu'un en syndrome prolongé ?
Si la cause du syndrome prolongé n'etait pas une question de recepteur et de synapse mais plutôt un systeme limbic qui pour se protéger c'estrenfermer sur lui même et bloquer le cerveau en etat de lutte/fuite ? | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 12:42 | |
| - corinne20072017 a écrit:
Malheureusement quand on souffre comme on souffre nous, on a tendance à s'en vouloir les uns aux autres, alors que notre ennemi commun, principal, ce sont : les labos et le système de santé national et international corrompu jusqu'à la moelle...
Alors, on se fait des reproches qui n'ont pas vraiment de sens, c'est mon avis.
Le vrai reproche, on n'ose pas l'adresser complètement à un système qui est si fort qu'il ne permet même pas d'obtenir justice* pour nos vies gâchées ! Ou alors, on le fait, mais on n'a pas les moyens de se battre ! Je disais cela à quelqu'un, je lui disais, "je n'arrive même pas à me défendre" ; et la personne m'a dit : mais on t'a mise "hors d'état de nuire !".
C'est vrai...
Est-ce que par hasard ce serait toi qui a fait le site dans lequel tu parles d'un réalignement des systèmes qui se ferait comme la résolution d'un rubik's cube ? Si oui, chapeau, c'est vraiment très intéressant. Et dans ce cas, toi-même tu parles d'un moment, d'une forme de "crise d'appprentissage", d'un moment où on pourrait récupérer soudain plus... Donc le temps nous permettrait de récupérer un peu, et à ce moment-là, sur une phase de récupération, des exercices de neuroplasticité pourraient nous permettre de récupérer plus, etc.
je ne suis pas d'accord sur les labos coupables le labo c'est comme une entreprise de chlore pour l'eau de javel ou d'armements si des personnes achètent ou achat indirect pour les médecins qui prescrivent et c'est remboursé sécu, donc un achat indirect par les médecins généralistes, psychiatres des hopitaux donc on fera de plus en plus de chlore et d'armes, cela rapporte si le médecin ne prescrit plus ou le pays n'achète plus d'armes, ces labos et entreprises vont se mettre à faire des tomates s'il y a des personnes qui achètent, le chlore ne rapportant plus donc on voit bien que c'est l'homme de science médecin prescripteur qui fait marcher le labo et non le labo qui commande le médecin, le labo faisant sa propagande comme toute entreprise, même celle qui vend des tomates le labo ne t'a jamais rien prescrit, il ne sait même pas que tu existes, c'est ton médecin qui t'a mise dans cet état alors après on peut leur dire qu'ils ne savent pas qu'il y a risques et bénéfices, qu'ils ne comprennent pas quand on est arrivé chez eux avec une panique ou une douleur et que 2 ans après on est totalement esquinté et tout ce qu'ils trouvent à dire c'est c'est la 1e fois que je vois ça, regardez pas internet, c'est votre maladie qui s"'est aggravée, ce sont des criminels qui te pose problèmes aujourd'hui dans ton état? le labo? non, les trois médecins qui t'ont détruits et continuent à te torturer pour que tu obtiennes une indemnité, ils se tiennent entre confrères pour leur boulot lucratif moi j'ai deux sites, un ancien antidepressantwithdrawal.info et toxicantidepressants.fr que je met à jour quand cela me chante, le 1er sera voué à disparaitre il a été fait avec 3 étrangers et moi, et le 2e devrait rester tant que je serais valide et a été fait par un étranger et moi-même j'y ai mis mes conclusions qui évoluent en fonction de mes découvertes, je dois mettre mon témoignage en français, il est en anglais mais j'ai pas fait en français, je dis toujours demain si tu es intéressée, tu peux faire ton témoignage, tes idées sur un sujet qui te tient à coeur, où tu souhaite que cela figure, tout est faisable, c'est gratuit je ne suis pas opposé pour des articles sur le sevrage classique, mais le but est le syndrôme nerveux grave je suis ouvert à tout | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 12:55 | |
| je prend l'exemple de mon syndrome postural orthostatique, qui est relier a une hyperexitabilité du systme limbic qui active constamment le systeme sympathique et à cause de l'adrenaline engendre une constriction des vaisseau sanguin des jambes et du coup le sang ne monte pas assez au cerveau et le cœur est obligé de pomper plus vite, pour moi sa a bien été declencher par la prise de benzos et mes sevrages foiré, mais d'autres personnes ont aussi ce syndrome après de simple accident de bagnole, ou de choc emotionel, d'autres après une grippe car le corps a été choqué et c'est replier sur lui sans raison pour se proteger, et ces gens ont guéri de la même façon, en reprogramment leur système limbic en sens inverse en sexposant graduellement à rester debout tout en redirigeant leur pensées pour que le corps comprenne qu'enfait il n'y a pas de danger, le stress diminue, ladrenaline diminue, le systeme para sympathique reprend le dessus et l'homoeostasie opère
C'est comme le fait que j'arrive très bien a jouer sur mon telephone et me concentrer sur mes jeux pendant des heures sans aucun symptômes, et pourtant je me sens mal de juste faire des mots croisé, la différence vient de quoi ? Surement de l'assimilation qu'à fait mon cerveau à ces deux activités différentes, mon cerveau se sens en sécurité de jouer à des jeux au calme tout seul, et a surement un chemin neuronal foiré et faussé qui me déclenche des symptômes de merdes lorsque j'essaie de faire des mots croisé car c'est surement un évévenement traumatisant que j'ai declencher dans le pic dans mon sevrage foiré, ou je ne pouvais plus me concentrer sur rien.
Alors maintenant la simple pensée que je dois faire quelque chose qui necessite de la concentration, lorsqu'on mapelle pour donner un coup de main ou faire une tache, en un 100ème de seconde sans même que j'y pense je me sens mal et j'ai déjà des symptômes de "cognitiv impairement", car le système limbic se souvient de ces taches comme d'un danger et commence deja a se proteger.
| |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 13:03 | |
| - pouleto a écrit:
- La depersonnalisation dissociation est mon pire symptome au point que je crois etre slyzophrene souvent et sa me rend suicidaire
3 ans de dissociation severe cest juste une torture mentale
Meme la terreur agpraphobie panique est toujour la 3 ans apres
Sans ca je pense que ce serait supportable et deja plus simple a accepter après 8 ans je l'ai toujours, bien que sortant chaque jour , je bois du café maintenant, finalement cela ne change rien, juste l'intensité qui fluctue il y a bien quelque chose qui est soit grillé, soit interrompu, soit bloqué mécaniquement et psychiquement, ce que j'appellerai une séquelle dans le cerveau, et j'ai beau communiquer autour de moi, aucune peur, cela ne joue pas, il y a un circuit qui manque et puis c'est tout, quoi que je fasse, c'est un empêchement mécanique qui ne veut pas me connecter à 100% à mon environnement, je suis connecté peut-être à 70% ? ou 60%, c'est difficile à évaluer alors des emetteurs recepteurs abîmés qui ne travaillent plus qu'à 60%? pourquoi pas parce que la base est que le produit chimique agit sur les neurones et particulièrement aux synapses et emmetteurs récepteurs, donc c'est à ce niveau que ça brûlerait avec le temps, et à l'arrêt: une partie est grillée, chez beaucoup cela se rétablit et chez une minorité non à 8 ans | |
| | | pouleto
Messages : 309 Date d'inscription : 12/04/2017
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 13:27 | |
| - colas a écrit:
- pouleto a écrit:
- La depersonnalisation dissociation est mon pire symptome au point que je crois etre slyzophrene souvent et sa me rend suicidaire
3 ans de dissociation severe cest juste une torture mentale
Meme la terreur agpraphobie panique est toujour la 3 ans apres
Sans ca je pense que ce serait supportable et deja plus simple a accepter après 8 ans je l'ai toujours, bien que sortant chaque jour , je bois du café maintenant, finalement cela ne change rien, juste l'intensité qui fluctue il y a bien quelque chose qui est soit grillé, soit interrompu, soit bloqué mécaniquement et psychiquement, ce que j'appellerai une séquelle dans le cerveau, et j'ai beau communiquer autour de moi, aucune peur, cela ne joue pas, il y a un circuit qui manque et puis c'est tout, quoi que je fasse, c'est un empêchement mécanique qui ne veut pas me connecter à 100% à mon environnement, je suis connecté peut-être à 70% ? ou 60%, c'est difficile à évaluer alors des emetteurs recepteurs abîmés qui ne travaillent plus qu'à 60%? pourquoi pas parce que la base est que le produit chimique agit sur les neurones et particulièrement aux synapses et emmetteurs récepteurs, donc c'est à ce niveau que ça brûlerait avec le temps, et à l'arrêt: une partie est grillée, chez beaucoup cela se rétablit et chez une minorité non à 8 ans Et si le simple blocage qui te permetrait detre 100% connecter ne venait pas juste du fait de venir tt les jour sur internet regarder sans cesse des gens flinguer et maintenait ton cerveau en etat de danger inconscient ? Car lune des clé primordiale pour guerir de la dp dr cest eviter comme la peste internet | |
| | | colas
Messages : 1854 Date d'inscription : 11/12/2011 Age : 74 Localisation : Paris
| Sujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge Ven 2 Juin - 13:29 | |
| - pouleto a écrit:
Et ce programme guéri des gens atteint de fibromyalgie, de fatigue chronique, de syndrome postural, de personnes hypersensibles au produit chimique, au champs electromagnétique, de douleurs dans le corps et compagnie, car tout traumatisme qu'ils soient induits chimiquement ou psychologiement après un mauvais épisode de vie se retrouve avec un système limbiaque hyperactif et qui se met à rependre de mauvaises réponses partout dans le corps, tout ceci relier au systeme de lutte/fuite constamment en marche, et qui induit l'adrenaline.
Les etapes à suivre de ce programme c'est simple, c'est arreter de focaliser sur les symptômes, arreter tout les forums, arreter de parler de la maladie avec les autres , arreter de chercher des solutions etc car ce ne fait qu'enfait que réenfocer ces chemins neuronaux faussé qui ont été créer par le systeme limbique après le traumatisme.
Et complétement redigiré la maladie vers la cause principale qui est, un disfonctionnement du systeme limbic qui est pris dans une boucle de faux messages, et redirigé ces faux messages.
Si on prend l'exemple de michel qui est constamment tout les jours a fouiner internet dans sa guerre contre les médecins, a entretenir son forum, et constmment revolté de ces symptômes qui omnubilent ses journées tout les jours, sa ne fait que maintenir son corps en etat de lutte/fuite, ca ne fait que confirmer la validation inconsciente que ses symptômes viennent des medoc et compagnie, Adrenaline, renforcement du chemins neuronal créer lors du disfonctionnement du système limbique et compagnie, un cerveau qui reste bloqué en alerte et systeme sympathique car tout les jours michel fait la guerre au medecin et compagnie
Corinne qui a été bloqué dans ce cercle d'harcelement, de lutte quotidienne des symptômes
Toi colas qui aussi au quotidien fait ton site, mange symptômes et vit symptômes
Enfin ce n'est qu'une piste car pas validé par moi même, mais si des gens déclenchent aussi de la fibromyalgie, des hypersensibilité au lenvironemet et compagnie sans prise de benzo/ad juste après des traumatisme physique ou psychique, et arrive à se soigner en reprogrammant ce système limbic, pourquoi pas quelqu'un en syndrome prolongé ?
Si la cause du syndrome prolongé n'etait pas une question de recepteur et de synapse mais plutôt un systeme limbic qui pour se protéger c'estrenfermer sur lui même et bloquer le cerveau en etat de lutte/fuite ? c'est une théorie qui était très répandue sur paxilprogress qui a fermé car complètement hors-sujet et dépassé par survivingantidepressants dont j'ai été l'un des pionniers avec mes américains et polonais paxilprogress (tenu par une femme qui n'a jamais été en syndrôme prolongé ni même en sevrage, une infirmière, c'était son fils qui a fait une réaction adverse), donc paxilprogress et son gourou disait qu'en 3 ans on était guéri (car son fils l'a été) et que si l'on souffrait c'était parce qu'il faut faire les exercices du livre de Claire weekes, de la thérapie cognitive comportementale et des anciens non guéris qui étaient très mal vus et poussés dehors lui avaient rétorqué, que si la pensée suffisait à guérir , il y a longtemps qu'ils seraient guéris et cela se saurait, ensuite le bannissement habituel... si tu as un cerveau normal et que tu subis une peur qui te transforme les neurones, en travaillant sur la peur on peut avoir de sérieuses améliorations des chemins neuronaux, concepts faussés changés, mais pas toujours mais si tu prends un chimique qui te grille mécaniquement les neurones, je ne pense pas que la pensée va rétablir,pourquoi? parce que beaucoup, bien qu'ayant repris une vie quasi normale en étant handicapé ne récupèrent pas grand chose après 8 ans comme moi je ne passe pas du tout ma vie sur le prolongé comme je le faisais au début, avec le temps, on s'adapte à une vie handicapée , le cerveau fait le nécessaire, nul besoin de fuir les forums, ils font partie de seulement peut-être 5% ou moins dans ma journée, tout le reste je suis ailleurs donc cette théorie que des personnes abîmées comme buxy222 ont bien replacé à sa vraie place, c'est qu'elle ne marche pas du tout pour un empoisonnement chimique et qu'il faudrait plutôt un antidote que de la pensée la pensée a sa valeur, mais avec ses limites, si tu as une jambe coupée, tu peux toujours penser qu'elle a repoussé chaque jour | |
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