Infos et entraide au sevrage des benzos : RESERVE AUX ACTIVISTES
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Infos et entraide au sevrage des benzos : RESERVE AUX ACTIVISTES

INFORMATIONS PSYCHOTROPES ET MEDICAMENTS, SEVRAGE DES PSYCHOTROPES, ENTRAIDE, LUTTE CONTRE LES PRESCRIPTIONS DE PSYCHOTROPES, INFORMATIONS SANTE, INFORMATION DES VICTIMES, MEDICAMENTS DANGEREUX...
 
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 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge

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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeLun 22 Mai - 21:05

moi je n'ai fait que des observations sur nous, qu'il faut accepter,

ce qui fait que j'ai constaté qu'on a des trucs

mais je n'ai pas dit que j'avais des solutions
j'ai la fatigue chronique comme toi, j'en bâves chaque jour

quand tu dis "est - ce que j'ai essayé?"
je n'ai pas compris ce que tu veux dire

je n'ai pas connu beaucoup de personnes qui ont été mieux avec la fatigue

j'ai connu un jeune de genre 27 ans, me rappelle plus très bien, qui s'est retrouvé avec un syndrôme de fatigue chronique et de fibro
il a souffert 2 ans puis c'est parti, il a pu retravailler, 1 an après il prend un antibiotique, tout lui est revenu dans la gueule, il est revenu sur les forums pendant quelques mois puis je n'en ai plus entendu parler
sinon les autres n'ont pas eu de rémission et beaucoup ne donnent plus de nouvelles
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pouleto




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeLun 22 Mai - 21:24

Jai un putin detat grippal ou jme sens dun coup crever tellement je me sens faiblr limite a aller au urgence verifier si tout va bien et que he nais pas une maladie terminal

Je crois que jai achever mon corps avec tout ces yoyo et ces conneries de regimr a la con

Je fais que pleurer je vois tout le monde reprendre sa vie jai fait du surplace pendant 3 ans
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeLun 22 Mai - 22:33

perso j'ai eu de vrais améliorations, diminutions d'intensités seulement à 4.5 ans, je croyais avant mais en fait ce n'était pas significatif, puis vers 6.5 ans, depuis j'ai dû mal à voir quelque chose car c'est très lent et on s'adapte chaque jour, avec en plus des vagues qui bougent et de la déréalisation, des douleurs et j'avance en âge
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMar 23 Mai - 9:05

4.5 ans avant davoir du mieu cest paq lié a lage ni a la duree de prise cesr uniquement a ton sevrage rapide

Tu fais lerreur de te comparer au autres qui ont gueri en faisant nimpe mais la realité cest que moi je suid en train de finir quasiment handicapé comme si mon corps se paralysait je nais plus de force mental ou physique et jai limprrssion de mourir ou que je vais mecrouler chaque seconde qui passe depuisement

Jai perdu la qualité de mon sommeil en faisant nimporte quoi et apres 3 annees dun sommeil non recuperateur je vais finir en chaise roulante
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMar 23 Mai - 9:15

Jai jouer avec ma santé en ecoutant tout un tas dinconnu sur internet qui fallait rien prendre que le sommeil revenait tout seul et compagnie resultat jsuid au bord de larret cardiaque et du fauteuil roulant 3 ans plustard alors que he bossais a temps plein pendant mon sevrage lent putin dmerde

Jdois condulter un neurologue et cest pas avant 2 mois dici la je srai suremen claquer
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMar 23 Mai - 12:17

pouleto a écrit:
4.5 ans avant davoir du mieu cest paq lié a lage ni a la duree de prise cesr uniquement a ton sevrage rapide

Tu fais lerreur de te comparer au autres qui ont gueri en faisant nimpe mais la realité cest que moi je suid en train de finir quasiment handicapé comme si mon corps se paralysait je nais plus de force mental ou physique et jai limprrssion de mourir ou que je vais mecrouler chaque seconde qui passe depuisement

Jai perdu la qualité de mon sommeil en faisant nimporte quoi et apres 3 annees dun sommeil non recuperateur je vais finir en chaise roulante
ce que tu as c'est le syndrôme(=plein de symptômes) de fatigue chronique qui fait des poussées, après la poussée tu es un peu mieux
si tu prend une bonne dépression ou une bonne angoisse tu vas aussi croire que demain tu es out, mais ce n'est pas le cas, l'intensité diminue mais revient malheureusement pour ce que j'ai vécu
c'est sûr que vivre ça est très dur mais il faudra que ça s'améliore et que l'intensité diminue
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMar 23 Mai - 12:30

pouleto a écrit:
Jai jouer avec ma santé en ecoutant tout un tas dinconnu sur internet qui fallait rien prendre que le sommeil revenait tout seul et compagnie resultat jsuid au bord de larret cardiaque et du fauteuil roulant 3 ans plustard alors que he bossais a temps plein pendant mon sevrage lent putin dmerde

Jdois condulter un neurologue et cest pas avant 2 mois dici la je srai suremen claquer
on ne claque pas comme ça, je n'en connais pas beaucoup qui ont claqué comme tu dis

il faudrait que tu comprennes la différence:

une personne qui est en sevrage comme Carole de Suisse qui a fait des conneries , qui souffre de ses yoyos et du manque de doses, peut reprendre une autre molécule ou augmenter celle qu'elle était en train de sevrer

une personne qui en sevrage ou pas, juste en train de prendre sa dose quotidienne qui souvent est une seule molécule, fait une réaction grave

ces deux cas ne sont pas pareils du tout, le 1er peut continuer à tout faire comme Louis
le 2e ne peut plus rien prendre, reprendre, quoi qu'il fasse il est 10 fois pire, donc souvent il est obligé d'arrêter net sa dose quotidienne, il y a parfois des signes, très vite à ses débuts, à chaque prise il est plus mal creshendo jusqu'au moment où ça éclate, contrairement au 1er carole de suisse qui peut continuer à prendre ou diminuer mais n'a pas ce grand bouleversement

toi tu étais dans le 2e cas, une minorité, les autres souffrent mais continuent leur train train quotidien, peuvent aller travailler, le 2e cas ne peut, trop de problèmes insurmontables

de toute façon, on constate les 1ers cas qui vivent en galérant et la minorité des 2 e qui totalement naze

si on met la quantité de cachet que tu as pris et les doses journalières à côté de la quantité de Carole de suisse, elle a une montagne et toi un sachet
la différence c'est qu'elle n'a jamais réagit gravement et souffrait en allant à Londres, comme Thérèse, alors que toi non

si on fait la différence des symptômes, ils font un peu d'angoisse, dorment un peu mal, ont des douleurs un peu, sortent travailler en étant 80 ou 70 %, peuvent parler à la famille copains

toi tu as le syndrôme de fatigue chronique et un peu de fibro, des paniques agora juste devant des copains, des sensations de devenir fou , d'être en train de crever, des ruminations obsessions, ne peut travailler du tout, dort à peine


alors toi tu dis qu'un sevrage lent ou une reprise de sevrage lent peut tout arranger, pour les 1ers cas nombreux, oui

pour les reactions adverse , non parce que quoi que tu fasses, tu crêves plus

Louis est toujours dans le 1er cas bien que le sommeil soit abîmé

ce que tu as fait, ton parcourt pour ceux qui sont dans le 1er cas, ce n'est rien du tout, c'est fréquent et pas grave à ce point, ils ont fait pire, certains des arrêts net

il y a comme tu l'as dit: des chanceux et ceux qui ne doivent et n'auraient jamais dû gober des psychotropes, car à 3 ou 1 changement ou simplement avec la dose quotidienne, ils sont out

est -ce qu'une reprise sevrage lent peut sauver les 2e cas, non car le corps a rejeté et est dans un état où il ne prend plus rien
la personne le sait car souvent elle ne prend plus rien après un petit essai, elle a compris ses réactions au cerveau










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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 12:07

ce que je ne sais pas même aujourd'hui, c'est pour la fatigue chronique et fibromya, si ce sont les muscles qui sont abîmés ou les nerfs avec les emetteurs récepteurs transmetteurs, car les deux donnent le même résultat

toi qui doit voir un neurologue, tu en as vu un qui t'as mis à la porte
va falloir ruser

et le résultat je connais, même après biopsie musculaire:
tu prends le vidal, la rubrique des muscles ou des nerfs, et tu auras un med d'une catégorie, et un med de l'autre catégorie, et un med pour l'estomac pour contrer des effets indésirables que provoquent ces substances
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 12:12

La dessus je suid daccord que mes symptomes ressemblent + a de la fatigue chronique quau sevrage maintenant

Je viens de recevoir le bouquin de annie hopper qui etait fibro et hypersensible electromagnetique et parle du blocage de la neuroplasticité apres un trauma physique ou psychique et qur le systeme limbique reste bloqué en etat de lutte fuite et empeche la neuroplasticite

Ce qui rejoins la theorie de ton ami la neuroplasticité ne se fait pas sauf que cest pas une question de recepteur necrosé mais une inflammation chronique du cerveau a cause de la cascade dhormones du stress constante a cause que le cerveau reste bloqué en mode lutte fuite

Elle dit que ce systeme limbique est le lien commun entre toutes les maladies chroniques invisible, le corps se fige en etat de danger comme tu disais et se protege constamment ce qui entraine une inflammation chronique
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 13:13

jérôme comment tu gères tes yeux qui brulent et qui piquent c'est plus que désagréable
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 14:10

Je les ai presque pu cest peit etre le lysanxia qui fait sa
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 14:28

Mes parent rentre de vacznce apres 2 semaine je ne ressens rien aucune emotion je suis un veritable robot completelent depersonnalisé sa men fait pleurer je ne me reconnais pas je suis en train de virer malade mental
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 15:11

pouleto a écrit:
Mes parent rentre de vacznce apres 2 semaine je ne ressens rien aucune emotion je suis un veritable robot completelent depersonnalisé sa men fait pleurer je ne me reconnais pas je suis en train de virer malade mental

quand tu prend des psychotropes, leur action est de te rendre insensible aux émotions négatives et positives, tes émotions sont émoussées, tu ne ressents plus la peur et la déprime (ni la tranquilité et la joie) tu es zombie, légume, robot
rien d'étonnant que après avoir arrêté cela reste un certain temps avant que tu ai à nouveau des plaisirs simples de la vie courante

c'est un peu revenu chez moi avec les années, je suis devenu trop sensible maintenant, avant j'étais mode zombie, peut-être que mon ex m'a quitté à cause de mes réactions insensibles

et un peu de déréalisation là dessus et c'est complet
tu ne vires pas malade mental, tes sensations sont faussées, mais ça revient si tu es patient
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 19:21

Tu parles tout ce que jai le syndrome postural ortosthatique cest la encore un dusfonctionnement des systeme nerveux autonome et cest un signe de quoi ?

Encore une fois de la dominance du systeme sympathique a cause davoir eté coincer en terreur jour et nuit pendant pret de 2 ans a cause dun sevrage raté a la con zt dune reprise foiré

Cest simple avec le stress oxydatif et la dominance constante de lutte fuite ben ton corps creve a petit feu.

Et pour eviter cet etat on fait un sevragz lent quand on est stabiliser pour minimiser le stress

Quand ton coeur zst encore a 120 juste en marchand a 29 ans 3 ans apres larrer des medoc cest meme pu le sevragz cest juste un corps flinguer par un arret fait nimporte comment a cause davoir vaicu une anxieté de folie pdt 2 ans
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 24 Mai - 19:42

système nerveux autonome détraqué, auto-immunité détraquée, en fait, tu prends une liste de symptômes sur les forums et tu as à peu près tout ce qu'on peut imaginer, même des dérèglements et symptômes que personne n'a naturellement mais induits par le médicament, iatrogénique comme l'akathisie, dyskinésie et autre inventions, des hormones faussées, des messagers chimiques à la ramasse, oui ton postural c'est un, mais il y en a tellement, en fait plus rien ne fonctionne vraiment, parler, regarder, manger, marcher, respirer, se lever, se coucher, ch.ier, digérer, gueuler, se reposer, réfléchir, rien n'est comme chez une personne qui n'a pas pris de psychotrope
prend un gamin, il a tout qui fonctionne correctement, nous , rien

notre problème c'est que la neuroplasticité est bloquée, donc on avance pas, du sur-place
personne ne nous comprend, eux la neuroplasticité ne s'est jamais arrêté
maintenant quand une neuroplasticité se bloque, tu peux toujours reprendre un sevrage, doubler la dose de confort, elle ne repart pas et tu souffres le martyr

le pauvre Geert ne peut rien pour nous, ni les huiles de lavande de chez Thérèse
et n'en parle pas à Carole de Suisse, elle va t'envoyer bouler, elle a eu le syndrôme prolongé, elle sait ce que c'est et s'en est sortie parce qu'elle s'est remué le c.ul, pas comme toi qui pleurniche
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeJeu 25 Mai - 9:54

Je regrette chaque jour mon sevrage lent je naurais jamais du tomber sur le blog de cette grosse pute daurele et finir mon sevrzge dans les regles

Je suis handicapé alors que je travaillais a temps plein pendant mon sevrage et que javai juste un ou deux symptomes a mes diminutions

Je nais pas arreter mon sevrzge pasque jetais mal mais parce que jetais impatient de ne plus prendre ces merdes

Je le paie en finissant handicapé

Jai rnvie de crever ma vie est putin de foutue

Jai completemrnt deregler mon cerveau avec ces yoyo de merdes
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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeJeu 25 Mai - 13:23

tu sais que beaucoup ont fait pire que ce que tu dis, arrêter un sevrage pour aller plus vite, essayer d'autres molécules , arrêté et repris et ne sont pas en prolongé pour autant

tu fais une négation totale sur la réaction brutale que peut avoir un cerveau face à un antibiotique, un vaccin, certaines substances qui touchent les nerfs comme les psychotropes, les substances contre la goutte par exemple, de même qu'un stress que le cerveau n'arrive pas à digérer
et également de la réaction face à un yoyo, ça tu l'acceptes
un séroplex, un baclo, un benzo peut déclencher cette réaction grave quelques jours après , toujours un effet retard qui parfois peut aller jusqu'à des mois avant d'éclater à une intensité maximum du jour au lendemain alors que tout va bien,
l'explication je ne l'ai pas, ce ne sont que des observations

j'ai lu des témoignages de personnes qui disent s'en être sorties, mais pas assez de fiabilité, de détails, de ce qui reste, de ce qu'ils avaient, étaient-ils réellement en prolongé?

parce que à un moment, les années passant se mélangent la vieillesse, les séquelles de psychotropse et la personne ne fait plus tellement la différence entre vie normale et la sienne et s'ajoute la parano, la confusion et puis plus rien n'est fiable, vivre 15 ans déréalisé, on ne sait plus ce que c'est de ne pas être déréalisé, le cerveau non plus




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corinne20072017




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 17:30

Bonjour,

Ca me rend très triste de lire combien vous souffrez après autant de temps post sevrage...

Je suis dans le même cas que vous, ce n'est pas facile de donner des nouvelles... quand on n'a rien de très réjouissant à dire...

Mais surtout, pendant des années, jusqu'à très récemment, le simple fait d'entendre le mot "benzo" ou même "médicament" ou même "labo" ou même "vie" me faisait souffrir le martyr psychiquement (sachant que mon système nerveux est comme le vôtre, totalement déréglé, et que chaque souffrance additionnelle fait valser mon cerveau)... je n'ose même pas décrire le degré de traumatisme...

Après des années de travail avec mon neurologue sur le syndrome de stress post-traumatique, j'ai déjà ça un peu sous contrôle, donc je peux un peu plus contrôler mes réactions, et avec moins de tristesse, parler de ce qui m'arrive au quotidien ou de ce qui m'est arrivé pendant ces dix ans (le martyr, jour après jour).

J'ai évidemment : zéro vie, zéro relation, zéro capacité de réaction normale dans le monde, des dizaines de symptômes chaque jour (répartis sur tous les domaines : respiratoires, cardiaques, hormonaux, perceptuels, psychiques, physiques, etc.) ; le pire, ce sont les douleurs de fou furieux qui s'emballent pour un rien (le moindre effort détruit ma nuit, déchiquetée par la douleur, les sensations de décharge électrique et/o de brûlure partout avec évidemment souffrance psychique maximale - à ce stade, les personnes en syndrome de sevrage prolongé sont des survivants comparables à des survivants de camp de concentration).

Pour résumer, je dirais que : je ne suis jamais sans symptômes. Je ne sais même plus ce que fonctionner normalement (= un cerveau qui fonctionne normalement) veut dire. Sans hyper-réaction à tout (au mouvement, aux couleurs trop vives, aux rayures, à la chaleur, au froid, au bruit, à l'échange verbal, au toucher, à la marche, à la station debout, etc.). Je ne sais pas ce que cela veut dire, de ne pas avoir besoin de minuter tout ce qu'on fait pour ne pas vivre une aggravation terrible des symptômes. Je ne sais pas du tout ce que ça veut dire, que partir en vacances ; ou : aller au cinéma, au théâtre ; ou : conduire ; ou : travailler ; ou : avoir un échange verbal sans limite de temps (parfois cinq minutes suffisent à me détruire pour 48 heures, parfois je peux parler 15 ou 20 minutes, mais je ne sais jamais combien, donc je finis par renoncer à parler !). Alors même, évidemment, que j'aurais besoin de parler ! Après tant d'années de solitude morale, physique, psychique, existentielle... des moments où parler serait mon plus grand secours : et je ne le peux pas...

Mais... !!!
Je m'y fais.
Je m'y fais.
Il n'y avait juste, pas le choix.

Chacun s'y fera à son propre rythme. On m'aurait dit il y a cinq ans (ça fait donc 10 ans complets) : il faut accepter, j'aurais craché des flammes à la figure de mon interlocuteur.

Mais je ne vois pas d'autre solution.

Donc, j'ai fait tous mes deuils, de tout ce que je ne peux pas faire (la liste est longue, comme pour vous) ; tout ce qui m'a été arraché ; avec, en prime : tout le mépris, le sarcasme, l'absence de soutien, le déni, l'indifférence, la persécution que j'ai eu à vivre de la part des médecins (jusqu'à aujourd'hui ! et persécutée, harcelée moralement : je mesure le poids de ces mots ; et : étranglée financièrement) ; sans compter le fait d'être incomprise, évidemment, y compris des gens en sevrage !

Car en effet, ce n'est pas facile d'aider des gens qui ont relativement peu de symptômes, quand vous vous en avez soixante à cent par jour, et pas des moindres... et qu'on finisse par vous engueuler quand vous n'êtes pas là, une fois, pour eux ; ou par dire "Corinne elle est payée pour faire ce qu'elle fait".

Ca m'a bien dégoûtée d'aider les gens en sevrage et je ne regrette pas d'avoir arrêté. C'était ça ou continuer à faire couler du poison psychique dans mes veines (aider des gens qui abusent de votre gentillesse) ; car comme vous, je vis, respire, mange benzo, symptôme sur symptôme sur symptôme sur symptôme, pas un pas que je fasse sans que ce corps se rappelle à ma conscience par une manifestation ou une autre de délire neurologique ; alors, aider les autres avec leurs benzos, pour essuyer, en plus, leurs reproches, ensuite, je ne pouvais plus. Et puis, j'avais déjà posé ma pierre, qui me semble très belle et très solide, d'ailleurs.

Mais mon message, qui est un message de désespoir, est aussi un message d'espoir. Non pas d'aller mieux, je ne pense pas que je vais aller mieux. Mais voici : je peux travailler à me rendre heureuse, et essayer de vivre heureuse, alors que j'ai à peu près toutes les raisons du monde d'être immensément malheureuse.

Est-ce qu'on peut être heureux, alors qu'on ne peut pas : ... (lire : tout ce qui donne sens à la grande aventure humaine) ?

C'est ce que je cherche à prouver. Je pense qu'on le peut. Je vous donnerai des nouvelles de ce terrain-là et de mes conquêtes. Je pense, d'ailleurs, ambitionner de me rendre PLUS heureuse que n'importe qui avec un cerveau normal et sans souffrances.

C'est un beau pari, n'est-ce pas ?

Bisous, vous êtes bien courageux !

Corinne "de Paris".

PS : merci Michel de permettre ces échanges.

NB : les capacités d'empathie de l'humain étant limitées, ceux qui ont un syndrome de sevrage plus court ou moins impressionnant ne vont pas avoir beaucoup d'espace pour ceux dont la vie est totalement calcinée par un syndrome prolongé qui relève de la pure torture au quotidien... c'est une des raisons pour lesquelles (avec le besoin de se rassurer, également) beaucoup vont dire qu'un syndrome grave et prolongé s'explique en réalité par des causes auxquelles on pourrait remédier (ex : hygiène de vie, etc.).

Or, rien n'est plus faux. Pour ma part, je mange comme un grand bouddha végétarien, j'évite le sucre depuis 6 ans, la farine, les produits laitiers, etc., etc. ; je ne fume plus depuis 8 ans, j'ai une vie réglée comme du papier à musique (au niveau du comportement ; pas : de mes réactions neurologiques que je ne maîtrise aucunement) ; je médite chaque jour depuis 5 ans... je suis une grande fan de la pensée positive, je ne me laisse jamais aller à désespérer sans réagir, sans chercher à tout faire pour me tirer vers le haut... et : je n'ai AUCUNE maîtrise sur AUCUN de mes symptômes (je sais juste : comment éviter de les aggraver, c'est du pur bon sens après 10 ans ; et pour éviter de les aggraver, je dois être : au repos constant ; parfois, malgré le repos constant, je souffre le martyr, cinq mois, six mois durant... parfois, le repos constant me permet de décompresser vaguement, tout en étant constamment sous pression, et douloureuse, mais le degré de pression est plus bas).

En même temps... c'est humain je crois... que de nier le caractère complètement aléatoire de cette sorte de roulette russe chimique... moi aussi, quand j'étais à 2 ans de post-sevrage, dans des souffrances terribles ; et que je voyais des gens souffrir après 15 ans, je me disais, j'espérais, de toutes mes forces, et donc, je me persuadais, que moi, pas, alors je me disais : mais ils en ont pris pendant plus longtemps que moi, etc. Tout pour éviter de me projeter dans cet enfer interminable... que j'ai bien fini par devoir accepter.
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pouleto




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 18:36

Bonjour corinne

Merci de ce message qui est tellement réel de verité, aider tout ces gens avec leurs petits symptomes ridicules et qui retournent vivre leur vie en vous crachant limite a la geule ensuite ou nen ont plus rien a foutre lorsqu ils vous voient toujours malade

Jai pris mes distances avec toute cette communauté benzo de merde je comprend meme pas pourquoi michel se fait encore chier a maintenir son forum

Vous etes malheureusement comme moi le resultat dun sevrage fait nimporte comment , quoi quen disent colas tout les autres sont 100 fois mieu car ils font des sevrages lents en etant stabilisé.

Jai depuis longtemps tiré une croix sur ka guerison en voyant que jetais deja 100 fois pire que tout le monde

Apres 10 ans je suis etonner que votre neurologue vous ais pas proposer de reprendre des benzos a vie, cest en tout cas ce que je mapprete a faire car je ne vois pas linteret de souffrir 10 ans pour ne pas vivre un minimum fonctionnel

La theorie du temps qui gueri est la plus grosse escroquerie jamais vehiculer par ces communauté benzos debiles, et ya pas quen france que je vois ca cest encore pire sur les forum etrangers.

Sinon juste comme sa bouffer vegetarien est franchement la pire chose a faire, je ne sais pas depuis combien de temps vous manger comme sa mais le vegetarisme est franchement tres deletere pour le corps humain, la pluspart des gens que jai connu en post sevrage se tourner ds cette direction en pensant se reconstruire en mangeant proprement ont fini pire car ils ne mangeaient pas assez de calories

Manger bcp de fruit et legume cest bien mais cette nourriture est tres forte en terme de volume et pauvre en calorie

Menfin a ce stade apres 10 ans je pense quil faut surement oublier le combat des medecin et compagnie et juste accepter de reprendre ces merdes a grosse dose jusqua la fin de sa vie pour avoir un semblant de vie

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corinne20072017




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 21:17

Bonsoir,

Nous avons déjà échangé ailleurs je crois.

Il n'y a pas beaucoup de témoignage qui m'ait émue plus que le vôtre, je me suis reconnue, je vous l'ai déjà dit je crois, il y a dix ans... et en effet je me trouve totalement démunie, je ne sais pas du tout que vous conseiller... car il y a dix ans j'étais persuadée que j'allais guérir, au bout de deux ans ; puis deux ans de plus ; puis deux ans de plus...

Mais je ne peux pas du tout reprendre les benzos car elles me rendent très malade psychiquement...

Donc je n'ai pas vraiment le choix. Je n'attends pas de guérir, c'est plutôt que, je n'ai aucune autre option que de vivre ce que je vis.

Il me semble à moi aussi évident que des sevrages trop rapides abîment beaucoup plus que les sevrages lents. Cependant pour ma part je n'arrive pas à regretter la forme qu'a pris mon sevrage (beaucoup trop rapide et mené en dépit du bon sens à partir de la compréhension limitée que j'avais du problème - "encadrée" ou plutôt, "plombée" par l'ignorance catastrophique de mon médecin de l'époque)... car j'étais comme un éléphant qui fuit un incendie... je cassais tout sur mon passage, pour fuir la catastrophe... alors que j'aurais dû faire un sevrage millimétré, donc, l'équivalent dans ma métaphore, ça aurait été : un éléphant qui doit emprunter, pour fuir un incendie qui le dévore, une corde de funambuliste...

Impossible, ce sevrage lent, à faire dans l'état où j'étais, avec l'absence totale d'information juste, etc. etc.

Et puis, Colas a raison, j'étais en : réaction paradoxale, en tolérance, je souffrais atrocement, que je prenne les benzos ou non... je ne sais pas comment j'aurais vécu un sevrage lent.

Donc, on en revient à : il aurait fallu... (ne jamais les prendre initialement) ; et donc : changer la loi sur les benzos.

En fait, moi, ça va me réparer psychiquement d'essayer de changer les choses... avec l'espoir qu'un jeune comme vous, dans dix ans, ne vienne pas me raconter une autre histoire aussi terrible et émouvante que la vôtre, qu'était la mienne il y a dix ans...

Et cependant, comme vous, je trouve Michel trop généreux de son temps...

Mais je crois que ça nous fait du bien, d'avoir l'impression de ne pas souffrir en vain.

Mais je ne ferai, contrairement à Michel, jamais passer l'intérêt de "la cause" avant "ce qui me reste de santé".

Que pouvez-vous faire à partir de maintenant ? Qu'envisagez-vous de faire ?

Pour ma part, c'est fini, j'ai accepté que ma vie était gâchée, ma recherche est maintenant sur une autre dimension, spirituelle, et ça part de l'acceptation totale que ma vie est gâchée.

J'ai mis dix ans avant d'arriver à cela, donc je comprends très bien que ce ne soit pas du tout envisageable pour vous...

Vous, pour vous, c'est encore juste : trop rageant, trop impossible à accepter, trop douloureux...

Avez-vous un entourage compréhensif ?

Bon courage... et aussi bonne nuit que possible... Les nuits benzos c'est en général ... affraid  bounce  

A bientôt,

Corinne

PS et en effet le temps qui guérit c'est difficile à croire, cependant il y a certains syndromes prolongés qui ont atteint une belle guérison, pas à 100% mais peut-être à 80 ou 90%, suffisamment pour fonder une famille et reprendre du sport, je pense à Matt Samet (celui qui a écrit Escape from benzo Madness).
Pour ma part, je ne suis pas guérie, pas même 10%. Donc en effet dans mon cas, le temps qui guérit c'est : n'importe quoi. Et cependant j'ai beaucoup récupéré au niveau cognitif. Mais pour le reste, malgré des efforts monumentaux dans tous les domaines, je ne récupère pas du tout.
J'ai essayé des tonnes d'exercices de neuroplasticité (sur Brain HQ)
Enfin, non, ça me déprime même de raconter tout ce que j'ai fait, jour après jour, année après année, pour me retrouver dans le même état qu'il y a cinq ans, qu'il y a sept ans.
Mon témoignage de 2008 n'est pas le reflet de ce qui s'est passé immédiatement ensuite. Je dirais que 2008 a été ma meilleure année avec réduction de la terreur (de 2007) et avant la dégradation terrible de mon état physique (2009). Donc parfois le point de départ du pire du syndrome prolongé est 18 mois après le sevrage !
Sans compter qu'ensuite, vous sur-réagissez tellement à tout qu'un événement de vie mineur pour n'importe qui d'autre devient la mer à boire pour vous...
Certaines victimes de benzos se comparent, à raison je trouve, à des enfants autistes (et je ne parle que de l'émotionnel)...

J'aurais aimé vous dire des choses positives mais ça aurait été vous mentir, ce ne serait pas juste. La vérité, il faut dire la vérité. C'est ce qui permet aux autres de faire leurs choix ensuite...

Et puis, ça offre une forme de validation... si on sait que d'autres vivent un calvaire comparable, on a moins l'impression d'être le seul à souffrir à ce point...

Dernier point, je me trouve moins asthénique tout de même, et largement, même si je pars de tellement bas que mon progrès n'est pas très parlant : avant je peinais au moindre effort, même changer de pièce était un calvaire, sans parler de l'effort pour prendre mon bain, pour utiliser une savonnette, pour lever les bras, me coiffer, (sans parler de la douleur causée par chacun de ces gestes) ; impossible de rester assise, j'étais allongée en permanence pendant des années, des années ; maintenant je reste assise facilement, je peux marcher 400 mètres deux fois par jour, bon, c'est mon maximum, mais le progrès est net.

Alors... espoir tout de même ?

NB : Matt Samet c'est, donc, si mes infos sont bonnes : un sevrage terrifiant, et une guérison à 80% après un syndrome prolongé de 7 ans (un sevrage cold turkey je crois du Klonopin).
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pouleto




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 21:43

Matt samet est un putin dimposteur comme carole de suisse

Il  na pas fait un arret brutal il a fait un sevragz etalé sur un ans et quelques de lequivalent de 200mg de valium peu importe la dureté de son sevrage a 2 ans de post sevrage il remontait sur son velo pour faire du sport extreme.

Il dit 7 ans car il a eu un setback en buvanr jusqua 20 café oar jour et en reprenant son hygiene de vie merdique davant

Juste comme sa quand a tu commencer a manger vegetarien et faire toutes tes restriction alimentaire ? Car jen connais plus dun qui ont failli crever tellement ce regime est mal adapter en post sevrage

Je suis moi meme passer par des phase de parano alimentaire a couper gluten sucre et compagnie et le manque de calorie ne fait quaccentuer le stress sur lorganisme qui pour compenser tourne a ladrenaline

Et un corps qui tiurne a ladrenaline cest un corps bloqué en etat de lutte fuite qui se sent en danger constant et cest la cascade de la santé a tout point de vue
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corinne20072017




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 22:08

Non, pourquoi dis-tu que ce sont des imposteurs ?

Juste, je crois qu'il faut clarifier ce qu'est le syndrome prolongé de sevrage aux benzos. Tout ce qui est : symptômes persistant 18 mois après l'arrêt n'est pas le syndrome de sevrage prolongé, c'est encore le syndrome de sevrage classique.

C'est Ashton d'ailleurs qui a défini (il me semble) cette marque temporelle.

Donc : les symptômes 18 mois après l'arrêt, c'est normal, et s'il y a de belles fluctuations, Windows and waves, c'est bien parti pour la guérison.

D'ailleurs je vois que Michel a indiqué "trois ans" comme marque temporelle.

C'est donc un long moment après l'arrêt qu'on peut parler de syndrome prolongé.

Et du coup cela voudrait dire en effet que Matt Samet n'a pas eu de syndrome de sevrage prolongé.

Je ne savais pas qu'il faisait du sport extrême après deux ans.

Pour répondre à ta question : je suis végétarienne depuis 10 ans.

Et les autres restrictions alimentaires (gluten et sucre) sont intervenues en 2010, j'espérais guérir en procédant de la sorte. Je testais tout, dans tous les sens... Je dois dire que j'ai d'ailleurs beaucoup gagné en confort au niveau des horribles symptômes digestifs / intestinaux que j'avais (j'ai fait un régime très drastique et ajouté un à un les aliments pour voir ceux que je tolérais ; il y en a plein que je ne tolérais pas). J'avais par exemple des douleurs très intenses (abdominales) et je ne les ai plus ou rarement ; et des ballonnements incroyables (mais vraiment, incroyables) et de même, je ne les ai plus que rarement et plus faiblement. Donc je ne regrette pas ces adaptations alimentaires ; quand je me remets à intégrer certains aliments ça devient plus dur très très vite au niveau digestif... donc j'évite, tu comprends ?

Courage Pouleto, tu arrives à écouter de la musique ?
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pouleto




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 22:12

Par ailleurs brain hq la neuroplasticité ne marche pas comme sa avec des exercises bidons

La veritable neuroplasticité reside dans le systeme limbic qui est la zone qui gere les traumatismes physiques ou psychologique, tout traumatisme y est stocker et quand ce systeme limbique est bloquer en etat de lutte ou fuite le corps se sent en danger constament et reagit a tout les stimulis exterieur de facon inconsciente en moins dune micro seconde sans que lon est le temps dy penser, le but du cerveau cest de survivre et se proteger quitte a declencher de terrible symptomes pour eviter ce.stimulis. tout ceci reside du traumatisme.

Je prend un exemple tout con pendant mon affreux second sevrage a force de lecture de forum de merde et dun etat de sugestibilité intense jetait terrifié par la bouffe par les supplement par les medicaments et compagnie

Boire un simple verre de sirop au fruit me declenchait une reaction de defense comme si mon corps se sentait empoisonner, je finissais alité limite a appeler les pompiers pour un simple verre de sirops, en terreur. Et ce stimuli a etŕ stocker dans mon cerveau et nen est jamais parti jusqua il y a pas si longtemps. Car cest comme sa que fonctionne le systeme limbique il imprime un danger comme un ordinzteur et tant que cette peur nest pas traiter le systeme limbique a pour simple but de conserver le corps en vie et donc declenche des symptomes de danger ou dans le corps jusqua la mort tant quon y prete pas attention.

Puis ya pas longtemp jen ai eu marre de ces conneries et je me suis forcer a boire mon verre de sirops, biensure la reaction a eté violente comme dhab, puis jai recommencer le lendemain puis le lendemain etc pour quelques jours plustard me rendre compte que la reponse de danger ne se lancait plus et que je navais plus aucun symptomes et mtn je rebois des boissons sucré a volonté sans pu aucune reaction.

La reponse de danger de mon corps pour se stimuli cest eteinte, la veritable neuroplasticité cest sa, changer la reponse dun stimuli devenu aggressif en sy exposant pour ke rendre inofensif.

Le probleme cest que nous en sevrage raté on se retrouve avec un systeme limbique qui a detecter des 100aines de danger partout autour de nous et meme inconscient et cette reponse tourne en boucle car cest le role du systeme limbique.

Pour guerir et attendre lhomeostasie il faut eliminer toutes ces reponses fausées une par une pour que le corps ne ressente plus aucun danger et se sente en securité pour se reparer.

Un corps sous adrenaline constante ne se repare pas car il se sent en danger .

Un animal blessé qui est encore poursuivi par son agresseur ne prend pas le temps de se soigner, il lutte.

Cest ce qui arrive aux personnes en sevrage rapide ou brutaux.

Le cerveau est traumatiser et bloquer
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corinne20072017




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 22:18

C'est très très intéressant.
Mais du coup, il faudrait se fixer un programme bien particulier, penses-tu que cela pourrait nous soigner ?
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pouleto




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MessageSujet: Re: 28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge   28 mois de post sevrage syndrome sevère, rien ne bouge - Page 29 Icon_minitimeMer 31 Mai - 22:26

Oui je peux ecouter de la musique regzrder la tele conduire faire les magasins voir des amis de temps en temps mais tout ceci est revenu avec la repetition ce nest pas revenu du jour au lendemain en mode window ashton ou tu es parti sa marche pas comme sa selon moi pour les sevrages raté. Qd le cerveau a imprimer un danger peu importe quon soit en sevrage benzo ou non sa part pas du jour au lendemain Ashton est selon moi completement depassé et elle ne suivait pas ses patients au dela de 1 ans et de plus tout ces patients ont eté seuvrer lentement selon son protocole.

Je suis handicapé par une depersonnalisation intense, fatigue chronique, forme danxieté hypersensibilite ectreme comme lautisme oui, insomnie et des troubles perceptuels ainsi que diverses phobies persistantes irrationelles

Je nais pas de douleurs violentes particulieres dans le corps appart dhorrible migraine de tension paralysante

Un syndrome postural orthostatique, mon coeur est a 100 bpm une fois debout car le sang reste bloqué dans mes jambes du coup je me sens mal debout avec des symptomes vizard et une grosse fatigue au moindre effort
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