Bonjour,
Alors que je n'ai jamais eu vraiment besoin de prendre ces médicaments, suite à un trouble de jouissance avec mon bailleur social, j'ai été guidé par mon généraliste vers un psychiatre car je ne dormais plus, je ne pouvais plus me reposer et même la police ne se déplaçait pas . je n'en pouvais plus . Mon psychiatre ne m'a pas dit exactement ce que c'était . il m'a trompé et j'ai failli en mourir.
Alors que nous habitions une maison locative chez un bailleur social, nous subissions de l'acharnement du harcèlement du voisinage (insultes, calomnie, agression, atteinte au bien... etc).
le bailleur n'a rien fait, au contraire . il nous a enfoncé . on lui a demandé des travaux, qu'il a refusé de faire . Alors, il voulait qu'on s'en aille . il a laissé pourrir la situation .
La police ne faisait rien, refusait de prendre nos plaintes pour les agressions . Les voisins nous disaient:"on connais du monde dans le police" .
Mes enfants avaient peur . On n'avait pas les moyens de déménager . Le bailleur nous faisait croire qu'il allait faire quelque chose . Il faisait traîner pour que ça finisse en différent de voisinage et la police aussi .
J'en ai parler au conciliateur de justice, à l'époque, qui a demandé à ces voisins de cesser ce trouble et cet acharnement . ils s'en sont moqués et ont continué .
J'en ai parler avec mon médecin généraliste . Je lui ai dit que c'était dur . Je lui ai demander si il connaissais un psychologue pour parler un peu histoire de parler, de lâcher un peu la pression le temps trouver une solution .
Je suis allée voir avec mon mari . Ce psychologue, aussi psychiatre, nous a prescrit tout de suite du prozac . Nous lui avons dit que nous n'en ressentions pas le besoin, que ça nous suffisaient de parler .
là, il nous dit que le prozac n'était que de la sérotine, que c'est un médicament quasi-naturel, pas plus fort que les plantes et que la sérotonine est présente naturellement dans notre corps et que ça nous détendra pour que l'on puisse parler avec lui tranquillement au prochain rendez-vous .
Sinon, il ne pourrait pas nous parler . Parce que l'on était un peu trop stresser quand même . On va chercher les médicaments, nous lisons la notice et là on lui dit que, quand même pour un médicament quasi-naturel, il y a beaucoup d'effets secondaires .
Là, il nous dit que c'est très très rare, que les laboratoires écrivaient cela pour se protéger parce qu'il fallait bien écrire quelque chose . Avec le stress et vu que mon médecin généraliste, en qui je fais confiance, le connaissais sous un bon jour, nous ne nous sommes pas méfiés et on a prit le prozac .
Pendant 7 ans, il nous a trompé sur ces médicaments.
7 ans de prozac pour nous deux (1 à 2 gélules /jour de 20 mg) et pour moi, il a rajouté d'autre molécules en quantité excessive des fois en même temps( xanax,lexomil,abilify) en plus de ces molécules, des hypnotiques (noctamide) sur 7 ans sans surveillance médicale sérieuse .
on le voyait tout les 2 mois et parfois 3 mois (ordonnance renouvelable) . Quand Nous avions déménagé, tout allait mieux dans nos vie .
il me disait de revenir et de continuer de les prendre . j'avais pris 15 kilos et mon mari 20 kilos . Il m'a dit que c'était le stress que je vivais à cause des voisins et que si je continuais, je maigrirais et j'irais mieux .
J'ai craqué à cause de l'inaction du bailleur et de sa participation cachée, de la police qui après une nouvelle agression, m'a dit :"on viendra pas tant qu'il n'y a pas du sang par terre, que le quartier n'est pas à feu et à sang, on ne viendra pas". J'ai craqué .
J'ai avalé 40 xanax, 27 prozac, j'ai essayé de m'ouvrir les veines pour dénoncer ce que ma famille et moi vivions et que l'on reconnaisse ce qu'on nous faisait subir . Je ne voulais pas mourir .
C'est effrayant ce que j'ai fait . Là, au moment où je vous l'écris, je suis mal d'avoir été conduite à ça par les effets paradoxaux de ces médicaments .
J'ai été conduite à l'hôpital, où le médecin des urgences m'a caché que c'était les médicaments de mon psy et qu'il fallait faire un sevrage et les arrêter progressivement .
Ce médecin des urgences n'a pas communiqué les informations à mon généraliste, seulement pour faire croire que j'étais "pas bien" . Il n'a donné pas toutes les informations à mon généraliste, les quantités prescrites entre autre .
Je décrivait mes symptômes à mon psychiatre, il ma conseillé d'aller me faire interner un temps pour me reposer . Il continuait les prescriptions excessives à l'hôpital psychiatrique .
J'ai demandé à sortir me sentant mieux au bout d'une semaine . Et les moments d'angoisse important reprenaient . je prenais plus de médicaments qu'avant . J'en avalais 3,4 puis je me rendais compte de ma bêtise .
Je me rendais aux urgences et on m'envoyait d'office, sans examen, à l'hopital psychiatrique où on continuait mon traitement . Dans mon dos, ils essayaient de manipuler mon mari lui faisant croire que si il signait une décharge, ils chercheraient ce qui m'arrive . Parce qu'ils ne savaient pas . Mon psy me disait:" pourquoi tu fais ça?"
Mon mari ne leur faisait pas confiance .
Il a regardé sur internet les effets de ces médicaments et là, il a compris leur manège .
J'ai commencé un sevrage, trés dur . Seule avec mon mari .
J'ai re-craqué . J'avais des visions bizarres . Je me voyais en haut d'un immeuble au bord du vide .J'ai eu peur, j'ai appeler le 15 en me disant qui il y avait au moins un médecin qui m'aiderait .
J'ai senti qu'il se moquait de moi . j'ai raccroché .
Ils m'ont envoyés les pompiers . Quand j'ai ouvert, ils m'ont dit que je devais aller à l'hopital . J'ai refusé . Nous leur avons demander de partir .
Un des pompiers a mis son pied dans l'ouverture de la porte . La police est arrivé . ils étaient une dizaine de pompier, une dizaine de policiers . Ils m'ont demandé ce qu'il se passait .
On a expliqué les effets secondaires des médicaments et des crises . ils ont envahit le domicile .
Les pompiers étaient agressifs, cela m'a fait craquer de nouveau . Mon mari et moi leur avons demandé de stopper leur comportement et de partir . J'ai gueulé du balcon de ma maison (1er étage trés bas ) :"qu'est ce que vous voulez à la fin ? vous voulais que je saute ? " . Aprés, des policiers m'ont dit qu'il fallait que j'aille a l'hopital, aprés ce que j'avais fait, je n'avais pas le choix .
Un policier a dit qu'il avait ordre de l'hopital de venir me chercher (alors qu'il n'avait aucune autorisation à l'hopital) .
On m'a maltraité . J'ai demandé devant la police de signer une décharge pour partir . Ils ont refusé .
Les médecins et soignants m'ont maltraité, attaché de force, insulté, déshabillé dans le couloir, sédater 2 fois sous la menace( tranxène) .
Mon mari leur a dit que c'était les médoc . On lui a ri au nez . Le docteur a donné l'ordre de l'attacher et de le sédater ,mon mari, il a dit qu'il allait porter plainte pour la maltraitance et le non-respect des droits du patient . le personnel a refusé d'obéir . Une autre partie du personnel était aux ordres de ce médecin .
Tout cela devant la police sans qu'elle ne bouge ou ne protège le patient .
Une personne seule a demandé, sans notre présence, à nos enfants qu'ils nous avaient obligé à faire venir à l'hopital, si on les maltraitait de façon agressive et excessive, ils on dit non .
La police a fait partir mes enfants et mon mari après la venue de l'officier de garde du commissariat, je suis sortie le lendemain, couverte de bleu .
J'ai des photos . Mon généraliste a vu les bleus . La police et le médecin de l'hopital on eu une altercation entre eux ( guerre de service) .
Je suis sortie le lendemain . Le médecin-psychiatre de l'hopital a eu le culot de me dire que j'étais alcoolique??
Je n'avais rien bu . Je n'ai même pas eu de prise de sang . Je titubais à cause des tranxènes et des médicaments .
Ils ont écris dans mon dossier médical que je suis alcoolique et que j'ai des démélés avec la justice . C'est totalement faux . Mon casier est vierge . Je n'ai pas de problème d'alcool, ni enfrain la loi de ma vie . Nous leur avons dit que nous allions porter plainte .
Le médecin du service d'urgence qui m'a traité comme cela avec ces complices ont fait un rapport a la dass-ase, qui a essayé de nous faire croire que cette plainte venait de la police .
Le signalement est abusif et tronqué . On m'a dit que j'avais essayé de sauter de la fenêtre de mon immeuble devant mes enfants ( les pompiers étaient venus avec la grande échelle !) . Je rappelle que j'habite une maison . J'ai tout expliqué à l'ase . J'habite une maison, pas un immeuble que c'est l'hopital et leur conduite . pour les médicaments, j'ai une attestation de mon médecin généraliste qui me connais depuis 15 ans, qui dénonce les effets secondaires et paradoxaux de ses médicaments . Elles ont refusé de joindre cette attestation au dossier . Elles ont interrogé seules les enfants pendant 2 heures .
Elles ont crée des troubles à mes enfants . Elle ont refusé qu'ils voient le médecin de la pmi .
Elle se sont présentées aux écoles des enfants en faisant croire a la maitresse que c'est nous qui nous plaignions de ce que la maitresse aurait fait à notre fils dans la classe créant un stress énorme à l'enseignante . La maitresse nous a dit qu'elle n'a rien dit de négatif sur nos enfants parce qu'il y a rien a dire . On ne maltraite pas nos enfants, bien au contraire . Cependant, ces femmes de la dass-ase, ont changé les propos des écoles, des enfants et même les notres alors que l'on a enregistré les entretiens et qu'on leur a dit . Elle nous ont dit que si on porte plainte contre l'hopital,
vu que l'on porte plainte contre votre bailleur social pour travaux et trouble de jouissance, ça créera trop de troubles à vos enfants, on sera obligé d'agir .
Dés le début de cette procédure, on a vu le délégué du défenseur des droits de notre département .
Je suis victime encore d'effets secondaires de ces molécules alors que je suis sevrée de ses médicaments, que je ne prend plus depuis 9 mois . Je n'ai plus ces troubles terribles que j'avais .
Je n'accuse pas les institutions publics de mon pays mais quelques/plusieurs personnes qui y travaillent pour nous manipuler, pour leur bien personnel, alors qu'ils ne remplissent plus leurs devoir de service de missions publics.
Le délégué au défenseur des droits de mon département a trouvé d'autres personnes dans mon cas et a avéré les effets secondaires des médicaments .
Ma famille et moi avons subit cette situation horrible sans être aider ; sauf par nous même.
J'espère que mon témoignage n'a pas été trop mais cela des années que nous vivons cela .
J'espère quelqu'un pourra me donner des conseils pour mieux appréhender ces effets nocifs .
Merci de votre lecture .