Bonjour,
Suite à un épisode chez le psychiatre en 2001, ou je me suis exprimé par une logorrhée qui a duré plusieurs séances (pas au début, mais plus ensuite)
je m'exprimais déjà pendant les premières séances avec des gestes et une certaine agitation euphorique.
Suis-je atteint de Manie, ou d'Hypomanie, suis-je fou en partie ? je ne sais pas, mais ce que je sais c'est que j'ai une personnalité schizoïde (et en ce sens j'ai besoin d'un traitement mais léger)
Ensuite Il a attendu que je (décompense ? je ne suis pas sur du terme) et que j'exprime ma souffrance par de l'agressivité envers lui (une demande agressive d'accès au diagnostic ou a une aide par la Cotorep)
A ce moment il m'a donné un traitement a base de neuroleptiques (Zyprexa en 2001, puis Abilify en 2007)
Ce que je peux dire sur ces traitements,
C'est qu'ils ont fortement dégradé mes relations que j'ai eut avec des personnes croisées au moment de la prise.
Donc les neuroleptiques a certaines doses sont mauvais pour une relative bonne ambiance dans la société.
J'ai rejeté plusieurs personnes qui ont voulu sympathiser avec moi a ces moments.
Sans compter que je me sens en partie déshumanisé par tout ces traitements pollueurs,
a tel point que j'aurais envie de me venger du lobby psychiatrique.
Pourquoi ne m'ont-il pas donné une dose faible de neuroleptiques en amont a troubles exprimés (qui auraient apparus a un moment ou a un autre) ?
Par crainte des neuroleptiques ? cette crainte est louable !
Mais ne devraient-ils pas proposer en amont un traitement faible mais sur longue durée. (dose normale / 4)
Plutôt qu'un traitement lourd au moment d'une crise ?
Les neuroleptiques ne soignant pas l'origine des troubles ! c'est ce qu'il faudrait faire ...