http://stefouxxx.wordpress.com/2011/02/19/mensonges-et-verites-sur-la-vitamine-c/Mensonges et vérités sur la vitamine C
mer, 26 jan. 2011 03:24 CST
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Albert Szent-GyörgyiMensonges et vérités, les solutions pour votre santé – Extraits du livre de Diona R.Kirsch, éditions Ambre, ISBN : 978-2-84639-102-3
Vitamine C (Acide L-ascorbique)
Beaucoup d’agents infectieux et leurs maladies, peuvent être complètement évités, facilement réversibles et souvent guéris avec uniquement de la Vitamine C. Entre la fin des années 1930 et le début des années 1940, la Vitamine C fabriquée en laboratoire, est devenue accessible à un prix abordable. Cela grâce à un chercheur, Albert Szent-Györgyi, un biochimiste hongrois/américain, Prix Nobel en 1937 pour son travail sur l’acide ascorbique.
La Vitamine C est miraculeuse et c’est la vitamine essentielle pour une bonne santé. Elle n’a aucune toxicité et peut donc être consommée indéfiniment. Pourtant, il faut absolument garder en mémoire plusieurs critères très importants afin de l’utiliser correctement et bénéficier pleinement de ses vertus :
- La Vitamine C doit être prise sous une forme adaptée aux besoins.
- La Vitamine C doit être donnée avec la bonne technique.
- La Vitamine C doit être prise fréquemment à des doses adéquates.
Il ne faut pas prendre la dose quotidienne de Vitamine C en une seule fois mais plutôt en petites doses égales, réparties plusieurs fois dans la journée. Par exemple, si votre dose quotidienne de Vitamine C correspond à 3 grammes par jour, il faut prendre 1 gramme de Vitamine C le matin, juste après le petit déjeuner. (Il vaut mieux éviter de la prendre à jeun. Le fait de la prendre sans nourriture peut causer à certaines personnes des maux de ventre ou des diarrhées), 1 gramme après le déjeuner (ou un peu plus tard si l’on se lève plus tard le matin) et 1 gramme au coucher.
- La Vitamine C doit être prise à des doses suffisamment fortes. Il ne faut pas prendre de Vitamine C à des doses inférieures à 1 500 milligrammes (1,5 grammes) par jour. Il faut savoir, aussi étrange que cela puisse vous paraître, que cette vitamine à des doses inférieures à 1 500 milligrammes ne sera pas efficace et pourrait même dégrader votre santé.
- Lorsque la dose de Vitamine C a été augmentée provisoirement, et que vous voulez revenir à votre dosage quotidien habituel, il ne faut pas brusquement diminuer la dose de Vitamine C. Votre résistance aux maladies peut être amoindrie temporairement avec un tel processus. Pour éviter que cela arrive, il faut toujours diminuer la dose lentement et progressivement durant une période d’une à deux semaines pour arriver enfin à votre dose habituelle.
- Éviter à tout prix un arrêt brusque de l’usage à long terme de la Vitamine C lors d’une hospitalisation. Il faut absolument au contraire qu’une quantité plus élevée de Vitamine C soit administrée afin d’éviter des complications durant le séjour à l’hôpital.
La Vitamine C joue un rôle dans presque toutes les réactions chimiques de l’organisme et dans de nombreux métabolismes. Elle joue donc un rôle dans la santé de la peau, des ligaments, des parois des vaisseaux sanguins, des dents et des os. Elle intervient aussi dans le processus fournissant l’énergie nécessaire à l’effort musculaire et dans la synthèse des hormones surrénales qui jouent un rôle essentiel en cas de stress. Elle maintient aussi le tonus et permet de mieux affronter la fatigue. Elle joue un rôle important dans les mécanismes de défense immunitaire et lutte contre toutes sortes d’infections bactériennes et virales. La vitamine E bloque la formation de cholestérol à 45 %, la béta-carotène à 90 % alors que la Vitamine C bloque cette formation de cholestérol à 95 % ! Que ce soit pour des problèmes aux yeux, aux gencives, d’arthrite, diabète, asthme, allergies, stérilité, cancer, maladies cardiovasculaires, foie, d’infections bactériennes et virales, la Vitamine C est vitale. Si vous êtes blessé ou que vous devez subir une intervention chirurgicale, il faut veiller à pouvoir prendre une quantité optimale de Vitamine C.
Pratiquement tous les organismes vivants ont la capacité de produire leur propre Vitamine C. Hélas, l’être humain, le cochon d’Inde et quelques autres espèces d’animaux font partie des êtres vivants défavorisés, qui ne peuvent absolument pas fabriquer de Vitamine C dans leur corps. De ce fait, pour que notre corps reçoive cette vitamine vitale, il faut trouver un apport par d’autres moyens, dont notre alimentation. Mais malheureusement, il est impossible d’acquérir la quantité nécessaire de Vitamine C uniquement par l’alimentation. Cette quantité varie non seulement entre les différentes espèces de fruits et légumes, mais aussi dans la même variété d’aliments. De plus, le simple fait de couper les fruits et légumes fait perdre la moitié de leur contenu en Vitamine C. Cette vitamine est une des moins stables, facilement perdue lors de stockage et de cuisson. Et pour tous ceux qui prennent des médicaments, le besoin de Vitamine C s’accroît. De nombreux médicaments augmentent en effet le besoin en Vitamine C tels que la pilule contraceptive, les préparations à base de cortisone (à avaler), les sédatifs (barbituriques), les analgésiques, les antirhumatismaux, et les antibiotiques.
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20 kg d’oranges pour seulement 10 g de vitamine CLe docteur Pauling a calculé la quantité de Vitamine C que les animaux produisent eux-mêmes. Il a trouvé par exemple, que la quantité moyenne de Vitamine C produite par une chèvre équivaut à 5 000 milligrammes (= 5 grammes) ! Cette faculté est particulièrement marquante chez les rats. Égal à un homme de 70 kg, leur corps fabrique une dizaine de grammes de pure Vitamine C ! Cela correspond au contenu d’une vingtaine de kilos d’oranges. Il n’est donc pas étonnant que les rats puissent résister dans des conditions particulièrement insalubres, sans s’empoisonner. Il est intéressant de noter ici que les animaux domestiques, tels les chiens et les chats, produisent beaucoup moins de Vitamine C que les chèvres et bien moins que les animaux sauvages. Voilà pourquoi les vétérinaires soignent nos compagnons souffrant des mêmes maladies que leurs maîtres. Pour nous, les êtres humains, la quantité de Vitamine C nécessaire pour éviter le scorbut est d’environ 60 milligrammes, mais cela est loin d’être la quantité nécessaire pour se protéger des autres maladies et problèmes de santé.
La Vitamine C est incroyablement inoffensive. Le seul et unique effet indésirable qui peut se produire si l’on prend une dose plus forte que son seuil de tolérance intestinal, est d’aller à la selle un peu trop facilement. Mais ce problème est vite réglé lorsqu’on arrive à connaître son besoin personnel en Vitamine C pour rester en bonne santé. Avec un peu d’expérience, on apprend vite à connaître sa propre tolérance maximale journalière en Vitamine C. (Pour tous ceux qui souffrent d’une constipation chronique, la Vitamine C facilite le transit intestinal.) Lorsqu’on commence pour la première fois à prendre de la Vitamine C, il faut augmenter progressivement la dose jusqu’à ce que son besoin personnel soit atteint. Il faut commencer avec 1 500 milligrammes (un gramme et demi) par jour, et après deux à trois jours augmenter de 500 milligrammes, et ainsi de suite pour arriver à la quantité nécessaire. Bref, la Vitamine C est un des nutriments les plus inoffensifs que vous puissiez avaler. Donc, il ne faut pas craindre son utilisation. Votre corps va simplement en éliminer le surplus, mais avant cela, la Vitamine C aura eu le temps d’apporter ses effets bénéfiques dans tout votre organisme. Ceux qui affirment que l’administration de fortes doses de Vitamine C est ridicule car elles sont rapidement rejetées ne tiennent pas compte du fait que le transit de cette vitamine puissante dans l’organisme, même s’il est rapide, peut accélérer et normaliser au passage des multiples réactions métaboliques. Juger le besoin en Vitamine C simplement par le taux sanguin et l’excrétion urinaire est arbitraire et insuffisant. Ce ne sont guère ces chiffres qui importent, mais ce qui se passe dans les organes et les tissus. En outre, il est bon d’avoir de la Vitamine C dans l’urine. Cela protège contre les infections urinaires et aussi contre le cancer de la vessie.
La Vitamine C administrée par voie intraveineuse (IV) ne passe pas par les intestins, de sorte que de plus fortes doses peuvent être administrées sans provoquer de diarrhée. La Vitamine C par injections intraveineuses est deux fois plus active que celle prise par la bouche et, en plus, elle est sûre, inoffensive et hautement efficace. Malheureusement, les hôpitaux ne l’utilisent pas. Leurs IV, contenant de l’eau stérile avec du dextrose ou saline, sont administrés surtout pour garder leurs patients hydratés, alors qu’un IV avec de la Vitamine C (sous forme tamponnée de l’ascorbate sodium ou de l’acide ascorbique) a pour but de guérir les patients.
Il y a déjà environ un siècle de recherche sur la Vitamine C et quelque 50 000 à 100 000 articles scientifiques ont été publiés. Il ne se passe pas un jour sans qu’un article médical ne mentionne la Vitamine C. Cette vitamine est une des substances les plus analysées dans l’histoire de la recherche médicale mondiale mais malgré cela, paradoxalement, cette vitamine reste une des substances les plus ignorées en terme d’application pratique. Et pourtant les chercheurs n’arrivent pas à lui trouver des défauts. Des années durant, la médecine orthodoxe déclarait, et déclare hélas toujours, que cette vitamine provoque calculs rénaux et déficiences en vitamine B12 mais ces accusations ont été prouvées depuis longtemps fausses et sans fondement. Cette désinformation se trouve encore dans les livres médicaux. Pendant ces trente dernières années, plus de recherches ont été faites sur la Vitamine C que pour tout autre nutriment car le monde médical connaît son efficacité dans la prévention et le traitement des maladies, même les plus redoutables. Son efficacité n’a pas changé. Ce sont plutôt les médias qui se sont blasés de trente ans de bonnes nouvelles sur la Vitamine C…
Aussi étonnant que cela soit, la Vitamine C a été cité dans la littérature médicale pour avoir facilement et définitivement guéri la polio et l’hépatite aiguë, deux maladies virales encore considérées aujourd’hui par la médecine orthodoxe comme incurables, indépendamment des traitements employés. Il est vrai que polio et hépatite peuvent parfois guérir spontanément, et cela relativement vite ou même après une période prolongée. Toutefois, la médecine orthodoxe semble ignorer que des doses adéquates de Vitamine C guériront de manière fiable et rapide pratiquement tous les cas de polio et d’hépatite aiguë. Des bébés ayant la polio sont complètement guéris en moins d’une semaine. Les patients souffrant d’hépatite aiguë sont malades pendant quelques jours seulement au lieu de plusieurs mois et la chronicité de l’hépatite ne se développe pas chez ces patients lorsqu’ils ont été traités avec suffisamment de Vitamine C. Bien que la polio soit une maladie en grande partie inconnue de la jeunesse et oubliée des anciennes générations, tout médecin, âgé ou jeune, vous dira que la polio était, et reste, une maladie sans aucun traitement efficace et surtout sans aucune guérison. Et pourtant ce n’est pas vrai.
Par ailleurs, la Vitamine C est efficace pour la protection et la guérison de plusieurs sortes d’empoisonnements (les champignons, les métaux lourds comme le mercure, le plomb). Cette vitamine annule les effets d’une vaste variété de poisons, toxiques plus que n’importe quel autre agent connu à ce jour. Ici encore peu de renseignements à cet égard figurent dans les livres de médecine et beaucoup de personnes dans le monde continuent à souffrir et mourir de ces intoxications puisque la médecine orthodoxe ne propose aucun traitement pour eux. Si un traitement avec de la Vitamine C n’apporte pas d’amélioration dans un essai clinique, la conclusion fréquemment utilisée par la médecine orthodoxe est que la Vitamine C est inefficace pour cette forme de toxicité. Une conclusion plus honnête et scientifique serait que la quantité de Vitamine C utilisée était inefficace. Il est très important en effet de garder en mémoire que le dosage administré de la Vitamine C doit toujours être suffisant. De plus, dans les cas graves comme l’intoxication, il est important d’administrer la Vitamine C par voie intraveineuse (IV), quitte à ajouter par la suite des doses par voie orale.
Les effets bénéfiques de la Vitamine C ne s’arrêtent pas là. La liste est loin d’être exhaustive pour des traitements efficaces. Voici quelques exemples :
Pour le zona, la douleur intense associée aux lésions de la peau et qui peut souvent persister pendant des semaines avant de disparaitre totalement, est complètement guérie dans pratiquement tous les cas lors de la première injection de Vitamine C. Même sans les médicaments antidouleurs, le soulagement est permanent. Les lésions de la peau qui en général persistent pendant des semaines disparaissent complètement en trois jours !
La sclérose en plaques et le lupus érythémateux sont considérés, par certains praticiens de la médecine orthodoxe, comme des maladies où le système immunitaire est devenu trop actif, et elles sont donc traitées, entre autres, avec des médicaments immunodépresseurs. Toutefois, beaucoup de ces maladies-là sont dues surtout à des toxines non neutralisées (mercure par exemple). Lors d’essais cliniques, ces deux maladies répondaient très bien à de hautes doses de Vitamine C.
Pour les maladies bactériennes infectieuses (la diphtérie et la tuberculose…), là encore la thérapie naturelle de la Vitamine C guérit. La tuberculose est la première cause infectieuse de maladie et de décès dans le monde. L’O. M. S. estime qu’environ 33 % de la population mondiale sont infectés par la tuberculose en période de latence, et que dans ce réservoir, environ huit à dix millions de nouveaux cas actifs se développent chaque année. Il a été constaté par Osborn et Gear, en 1940 déjà, que les mammifères n’ayant pas la capacité de fabriquer eux-mêmes de la Vitamine C (l’être humain, le singe et le cochon d’Inde…) étaient les plus susceptibles de contracter ces infections bactériennes. La plupart des maladies infectieuses, telle que la tuberculose, réussissent en effet à infiltrer un corps déficient en Vitamine C. La bactérie responsable de la tuberculose est très lente à s’étendre. Les médicaments utilisés par la médecine orthodoxe ont donc besoin d’un certain temps, même plusieurs années, pour obtenir les meilleurs résultats pour un patient tuberculeux. La Vitamine C est aussi efficace tout en étant naturelle. Elle doit être prise par le patient toute sa vie et à de plus fortes doses pendant au moins la première année du traitement.
La fièvre rhumatismale est causée par une infection streptococcique mal soignée. Elle frappe surtout des jeunes entre cinq et quinze ans. Les enfants à cet âge ont besoin approximativement de deux fois plus de Vitamine C par kilogramme de poids que les adultes du fait que, pendant ces années-là, leur croissance monte en flèche. Des chercheurs déclarent que la plupart des cas de fièvre rhumatismale sont causés par une déficience grave en Vitamine C chez les sujets atteints d’une infection au streptocoque. Il a été constaté que les infections bactériennes streptococciques sont sensibles même à un apport minimal de Vitamine C ! Le traitement aux antibiotiques peut être utilisé mais il est probablement inutile dans la plupart des cas. Cela démontre qu’un apport quotidien de Vitamine C, à des doses optimales, éviterait des infections streptococciques telles que la pharyngite, l’amygdalite, la fièvre rhumatismale…
Un traitement à haute dose de Vitamine C joue également un rôle thérapeutique important pour des personnes atteintes du SIDA.
En ce qui concerne le cancer, une équipe de chercheurs du National Institute of Health aux États-Unis a publié récemment une étude sur les effets à très hautes doses de Vitamine C sur des cellules cancéreuses. Ils ont trouvé que de hautes concentrations de Vitamine C (ascorbate) tuaient des cellules cancéreuses, diminuant leur taux de survie de 50 % sans que les cellules normales soient affectées. Il faut administrer la Vitamine C par voie intraveineuse (IV) pour tuer des cellules cancéreuses et des microbes, car il en faut de très fortes concentrations. Dix grammes de IV Vitamine C, par exemple, augmente les taux de Vitamine C dans le sang comme si l’on avait pris par voie orale plus de 250 grammes ! Il est très peu probable que de telles informations soient diffusées dans les medias ou par un cancérologue. L’industrie du cancer génère des milliards de dollars avec ses traitements de chimiothérapie et de radiation. Elle ne va pas quand même les remplacer avec une vitamine bon marché ! Il ne faut pas rêver.
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Vitamin C, Infectious Disease and Toxins par le Dr. Thomas E. LevyUn livre passionnant sur la Vitamine C écrit par le docteur Thomas E. Levy, ID intitulé Vitamin C, Infectious Disease and Toxins : Curing the Incurable avec ses 400 pages et plus de 1 200 références scientifiques devrait faire partie de votre bibliothèque personnelle. Non seulement ce livre est facile à lire et vous apprend tout sur la Vitamine C, mais il vous informe sur des faits incroyables, mais vrais. Le docteur Levy est médecin et avocat. Il a écrit ce livre avec l’intention bien précise de pouvoir défendre chacune de ses déclarations devant un tribunal. Lorsqu’il écrit selon des faits prouvés scientifiquement qu’à des doses appropriées, la Vitamine C en injections intraveineuses ou même souvent, selon la maladie ou la gravité, par voie orale, guérit des maladies redoutables telles que la polio, l’hépatite B et C, la maladie de Lyme, la mononucléose (virus Epstein-Barr), et bien d’autres, comme la rougeole, la varicelle, l’herpès…, c’est un fait et non une plaisanterie. Le docteur Levy n’aurait pas pu avancer de telles informations si ce n’était pas vrai. Cet ouvrage va franchement vous fournir des sujets d’indignation. Par exemple, il relate qu’au sommet de l’épidémie de la polio en 1949, lorsque les jeunes parents vivaient dans la peur que leurs bébés et jeunes enfants soient les prochaines victimes, le docteur Frederick R. Klenner a publié des rapports où il disait clairement que grâce à la Vitamine C, il guérissait avec succès 60 de ses 60 patients atteints de polio venus en urgence et sans qu’aucun de ces 60 patients traités ne reste handicapé à vie comme cela était souvent le cas lorsqu’on attrapait le virus de la polio.
Comment de telles informations ont-t-elles pu être ignorées dans le passé et le restent encore aujourd’hui ? Comment est-il possible que des médecins et chercheurs, gens intelligents et soucieux de la santé publique, puissent laisser dans les oubliettes de tels renseignements ? De nouveau, c’est une question d’argent. Étant une substance naturelle, la Vitamine C ne peut être exploitée par les firmes pharmaceutiques. C’est plus qu’une poignée de médecins et d’hommes de science qui réalisent le danger de voir leurs revenus diminuer avec quelques découvertes médicales gênantes mais légitimes comme celle-ci. En lisant le livre du docteur Levy vous allez vite comprendre que la médecine orthodoxe et ses complices, les industries pharmaceutiques, sont corrompues et laissent mourir des milliers de personnes par intérêt financier, alors qu’il existe depuis fort longtemps, pour tant de maladies et problèmes de santé, une thérapie naturelle, disponible et bon marché : la Vitamine C. D’ailleurs, de nombreux traitements utilisés par la médecine orthodoxe dans les maladies infectieuses seraient plus efficaces si l’on y ajoutait la dose adéquate de Vitamine C.
Conclusion : vitamine C
Il est impératif de prendre de la Vitamine C même pour les personnes en bonne santé. Les gens malades devraient en absorber des quantités encore plus importantes. La dose optimale n’est pas nécessairement appropriée pour deux patients présentant les situations cliniques similaires, car l’organisme d’un patient peut métaboliser plus rapidement la Vitamine C qu’un autre. La plupart des gens peuvent en absorber 15 à 20 grammes quotidiennement en trois doses ou plus, sans trop de problèmes gastro-intestinaux. Si, avec votre dose quotidienne de Vitamine C il vous arrive de contracter deux à trois rhumes pendant l’hiver, cela peut être un signe que la quantité de Vitamine C ne vous suffit pas. Il est donc recommandé d’essayer une quantité de Vitamine C quotidienne plus élevée. Il faut apprendre à adapter la dose qui vous convient selon les différents critères exprimés tout au long de cette rubrique. Afin de vous aider à déterminer votre dose quotidienne, il est recommandé d’augmenter progressivement la dose de Vitamine C jusqu’au stade où vous allez trop facilement à la selle. Vous serez alors arrivé au seuil de votre tolérance intestinale où il faudra diminuer le dernier dosage pris. Attention tout de même à prendre vos doses de Vitamine C après les repas. Certains ont des intestins plus sensibles que d’autres en prenant cette vitamine à jeun, et cela peut donc fausser l’estimation de la dose nécessaire. Aussi longtemps que vous restez en bonne santé, et que vous ne souffrez plus de nouvelles infections ou de nouveaux problèmes de santé, votre dosage devrait rester inchangé. Toutefois, il y a toujours un moment ou un autre où les risques de nouvelles infections sont plus menaçants (saison de la grippe par exemple). En prévention, il faut tout simplement augmenter provisoirement la dose de Vitamine C. Vous verrez qu’avec l’expérience vous allez améliorer votre manière d’utiliser cette vitamine. L’important est que votre dose optimale de Vitamine C soit prise sans faute tous les jours.
De très hautes doses de Vitamine C par voie orale peuvent produire des gaz intestinaux. Afin de minimiser ces effets, il faut essayer différentes sortes de Vitamine C et différentes manières de l’utiliser (après les repas, au lieu de la prendre à jeun ou avant les repas). Certaines personnes tolèrent les ascorbates de sodium mieux que l’acide ascorbique, et pour certains, un mélange des deux peut être préférable. Certains effets indésirables peuvent aussi être la conséquence des additifs utilisés dans certaines fabrications de la Vitamine C.
Il existe différentes formes de Vitamine C : la poudre cristalline pure, des comprimés et des capsules à action prolongée (ces dernières sont à éviter car elles peuvent être nocives pour le foie.) Certains individus tolèrent les comprimés de cette vitamine mieux que les cristaux purs. D’un autre côté, les poudres sont les moins chères et les plus pratiques surtout pour ceux qui utilisent de hautes doses. Une cuillerée à café de poudre contient déjà approximativement cinq grammes de Vitamine C. L’acide ascorbique sous forme de cristaux fins ou de poudre cristalline, emballé dans des pots bruns ou blancs opaques, reste stable indéfiniment et peut être stocké pendant des années.
Cette vitamine est tellement incroyable qu’il est fort probable qu’à hautes doses elle aurait la capacité de nous protéger même en cas de grippe aviaire. Il y a très peu de maladies ou de problèmes médicaux qui ne sont pas améliorés, tout au moins à un certain degré, avec un apport régulier et optimal en Vitamine C. Si tout le monde prenait régulièrement sa dose de cette vitamine, personne n’aurait à subir des «effets secondaires» suite aux vaccinations. Comme ces maladies ne se déclareraient plus, il ne serait plus nécessaire en effet de se faire vacciner. À ce jour aucun traitement à la Vitamine C utilisé pour des maladies infectieuses n’a été considéré comme dangereux ou inapproprié.
Rappelez-vous, l’important pour l’usage de la Vitamine C n’est pas une «overdose» (excès) mais plutôt une «underdose» (pas assez). Si aucune amélioration contre des maladies infectieuses en utilisant la Vitamine C n’est ressentie, c’est un signe qu’il faut absolument encore augmenter la dose aussi longtemps qu’il y a une réponse insuffisante et qu’il faut continuer la période de traitement jusqu’à ce que tous les symptômes cliniques disparaissent.
Oui, la Vitamine C en dose optimale réduirait l’utilisation de médicaments, le nombre de maladies et tant de souffrances inutiles. Il faut vous rappeler constamment que si vous prenez votre dose optimale de Vitamine C chaque jour de votre vie et si vous suivez les autres conseils de cet ouvrage, vous aurez la meilleure protection possible contre tout problème de santé. Pas la peine de chercher des solutions plus compliquées.