'il existe de nombreuses similitudes entre les symptômes de sevrage des benzodiazépines et des antidépresseurs

https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://ravimid.files.wordpress.com/2015/02/psychiatric-drug-withdrawal-can-be-disabling-010314-1.pdf&prev=search

Il convient de noter qu'il existe de nombreuses similitudes entre les symptômes de sevrage des médicaments benzodiazépine et antidépresseurles  Dans une étude portant sur la différence entre le sevrage des ISRS et des benzodiazépines Nielsen et al (2012) ont conclu que «les symptômes d'interruption qui ont été décrits pour les benzodiazépines et les ISRS, étaient très similaires pour 37 des 42 des symptômes identifiés...Faire référence à ces réactions comme faisant partie d'un syndrome de dépendance dans le cas des benzodiazépines, mais pas dans celui des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine ne semble pas rationnel. » 20 Les expériences des organismes de bienfaisance chez les personnes se retirant soit d'un antidépresseur ou d'une benzodiazépine, soit les deux.Selon Baylissa Frederick, de Recovery Road: «Il n'y a pas eu de différence notable entre les symptômes vécus. Les deux peuvent être aussi horribles ... les deux peuvent être aussi intenses, aussi longs, et avec  répercussions similaires»

Si quelqu'un pouvait me traduire :
referring to these reactions as part of a dependence syndrome in the case of benzodiazepines, but not selective serotonin reuptake inhibitors, does not seem rational.

Car je n'ai pas tout compris


merci

Je traduirais ça par :

"Faire référence à ces réactions comme faisant partie d'un syndrome de dépendance dans le cas des benzodiazépines, mais pas dans celui des inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine ne semble pas rationnel."

Mais bon, je ne suis pas perfectly fluent. Donc, ça vaut ce que ça vaut.


Sinon, oui, c'est normal que les benzodiazépines et, au moins certains antidépresseurs provoquent les mêmes symptômes de sevrage, puisque ce sont des analogues d'opiacés (des opioïdes).

J'avais fait une liste des médicaments que je considère être des analogues d'opiacés ici :

http://www.repenser-la-medecine.com/quotidien/non-classe/liste-des-medicaments-qui-sont-des-analogues-dopiaces/

Tous provoquent exactement les mêmes symptômes de sevrage que les benzodiazépines (plus ou moins forts en fonctions des médicaments et des doses absorbées).

Merci aixur

Oui, cela doit vouloir dire cela.

Mais je ne suis pas tout a fait d'accord avec le fait que les antidépresseurs serait des "anologues opiacés"

Car même, si ils ont des propriétés neuroleptiques, ce sont néanmoins des amphétaminiques, dont certains sont même, des amphétamines, comme le zyban / welburtin.


Par contre, certains antidépresseurs ont des propriétés anticholinergiques, comme beaucoup de "médicaments".
Je suis en train de préparer un blog sur le sujet :

https://anticholinergique.wordpress.com/blog/

Ce qui va dans ton sens, puisque les opioîdes ont des propriétés anticholinergiques.

bonne soirée

michel

En fait, je pense que les antidépresseurs sont une catégorie un peu spéciale. Il doit y avoir des antidépresseurs qui sont des analogues d'opiacés (des calmants), et d'autres qui sont plutôt des excitants (et d'autres encore, qui sont des mélanges des deux). Ça a l'air d'une une catégorie un peu fourre-tout. C'est pour ça que j'ai précisé "certains antidépresseurs".

Donc, je suis d'accord avec toi concernant certains antidépresseurs. Mais je pense que pour d'autres, ce sont bien des analogues d'opiacés.

Par exemple, le Bupropion, bien qu'il soit considéré comme un dérivé d'amphétamine, me semble être un opioïde. Dans la mesure où on s'en sert pour le sevrage du tabac, je vois mal comment ça pourrait être un excitant. Si c'était le cas, ça serait comme bourrer de café un type qui essayer de se sevrer du tabac. Le gars serait hyper nerveux en permanence. Pour remplacer le tabac, on donne des produits à effet calmants.

Pareil pour le pramipexole (un antagoniste de la dopamine). Vu que c'est utilisé pour traiter la maladie de Parkinson, ça m'étonnerait que ça soit un excitant. A priori, ça doit être plutôt un opioïde. Par ailleurs, lors du sevrage du pramipexole, il a été rapporté des cas de consommation d'opioïdes forts (notamment l'oxycodone et l'hydrocodone, voir sur Wikipédia). Si c'était un excitant, les types qui arrêtent de le consommer ne deviendraient pas accros aux opioïdes.

"Le Zyban / Bupropion est une amphétamine sur laquelle quelques groupements chimiques ont été greffés."

http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/le-zyban-encore-une-amphetamine-102866

Tu sais, rien ne m'étonne plus de la part de bipharma....