17 produits chimiques favorisent le cancer du sein

De toute façon, quels que soient les produits utilisés (alimentation, gels douche, peinture...etc.), nous sommes tous concernés (certains plus que d'autres lorsque c'est héréditaire) et nous ne pouvons pas y faire grand chose! Alors le tout est de se surveiller régulièrement à partir d'un certain âge. Mais ne pas abuser de l'alcool, du tabac, manger aussi sainement que possible (surtout de l'ail et du curcuma, entre autres, car anti-cancer) et faire du sport ou simplement marcher et rire !!


http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=actu-pst-2014-cancer-sein-produits-chimiques&utm_source=intern&utm_campaign=quotidienne&utm_medium=newsletter

bonjour   

Il faut aussi faire très très attention aux surdiagnotics !!!

Et si, au lieu du cancer, c'était au traitement que vous aviez "survécu"

Nicole Delépine :A force de multiplier les dépistages de tous types, nous allons tous devenir des survivants du cancer !

Pendant des décennies, il a été affirmé péremptoirement et sans preuve scientifique que plus le diagnostic d'un « cancer » était précoce plus on avait de chances d'en guérir. Cet argument était peut être vrai dans les années 60 lorsque le traitement se résumait à la chirurgie et qu'on ne guérissait guère plus de 30% de malades mais il ne l'est pas aujourd'hui. Le dépistage organisé a transformé des monceaux de gens normaux, chez lesquels on a trouvé quelques cellules malignes, en cancéreux. Ils ont subi examens complémentaires, opérations et traitements médicaux (chimiothérapie) et/ou radiothérapie et ont été ensuite déclarés « guéris ». Cela a permis de faire croire à une épidémie galopante du cancer et en même temps aux progrès rapides de la médecine puisque le taux de guérison des cancers augmentait également très vite (on guérit facilement les cancers qui n'évoluent pas). Beau doublé !

http://www.nicoledelepine.fr/nicoledelepine-et-si-au-lieu-du-cancer-c-etait-au-traitement-que-vous-aviez-survecu-260.html#.U52tv0AR3v0

il y avait et il y a sûrement des abus dans le traitement de cancer qui n'en sont pas, car une chimiothérapie et une chirurgie rapportent beaucoup aux chirurgiens et hopitaux qui sont devenus des entreprises qui doivent être bénéficiaires,

d'un autre côté, il ne faut pas oublier que le cancer existe et se déclare sans raison y compris chez les personnes consommant de l'ail et essayant d'avoir une bonne hygiène de vie, j'ai le cas de ma mère qui consommait de l'ail et des légumes du jardin, éloignée de la pollution des villes et toujours en activité, et qui a attendu jusqu'à être métastasée, et là, la médecine a annoncé qu'elle ne peut plus rien faire
alors si on a des écoulements de sang, une grosseur qui n'arrête pas, il faut consulter tout en étant vigilant et méfiant

bonjour

Si le cancer existe bien et peut tuer, les traitements actuels tuent souvent encore plus vite...


http://cancer.sosblog.fr


Il est conseillé de bien s'informer avant de prendre sa décision que chaque personne est libre de prendre.


michel

Moi, j'estime (au pif bien sûr) le pourcentage de surdiagnostic à au moins 90 %.

Concernant l'ail, à mon avis, c'est plus facteur de tumeur qu'autre chose. C'est un fluidifiant sanguin tout à fait efficace. A peu près aussi efficace que l'aspirine. Ce qui veut dire qu'il désagrège les cellules. Donc, il attaque les cellules du corps et esquinte les organes. Et une fois esquintés, il va perturber leur réparation, ce qui fait qu'une zone enflammée va pouvoir ressembler à une zone tumorale. Et parfois, ça va se transformer en réelle tumeur. Et bien sûr, l'ail provoque des saignements.

Donc, non seulement l'ail peut provoquer des vrais tumeurs, mais aussi des fausses qui ont l'air de vraies.

Concernant ce dernier cas, ça peut esquinter le foie, et provoquer des réparations mal foutues qui vont passer pour des métastases. Ca peut esquinter aussi la bouche, la gorge, l'estomac, les intestins, le colon les poumons, les reins. Ca peut entrainer une acidose qui va provoquer une ostéoporose qui va passer pour des métastases osseuses. Bref, il va être très facile de trouver des (fausses) métastases.

Bien sûr, il peut y avoir une vraie tumeur principale et des fausses métastases. La présence réelle de la tumeur va alors rendre plus convaincant le discours sur les métastases.

Même si tout est faux, eh bien, ça ne veut pas dire que la personne va survivre, loin de là. Parce que la médecine va généralement donner un traitement anticancéreux palliatif. Ils ne peuvent pas ne rien faire. Et même s'ils ne font rien en matière de traitement, à la moindre douleur, ils vont donner de la morphine. La personne va alors péricliter rapidement (amaigrissement, faiblesse musculaire, cognition, etc...). Ce qui va entrainer qu'au bout d'un moment, elle va être mise en unité de soins palliatifs. Et là, les médecins tuent le patient avec une combinaison de morphine, d'arrêt de l'alimentation, puis d'arrêt de l'hydratation.

aixur a écrit:

Et là, les médecins tuent le patient avec une combinaison de morphine, d'arrêt de l'alimentation, puis d'arrêt de l'hydratation.

Souvent : dérivé morphinique de synthèse + benzodiazépine

Un cocktail souvent mortel a terme, surtout si l'on augumente les doses chaque jour jusqu'a la mort.

Oui, et effectivement, on augmente les doses. Peut-être pas chaque jour (sauf vers la fin probablement), mais régulièrement.

Du coup, il y a comme un effet palier. La personne s'habitue à la dose. Mais au bout de quelque temps, on l'augmente à nouveau. Et là, à cause de l'augmentation, une insuffisance respiratoire peut se manifester, ou une léthargie, des problèmes cognitifs, etc...

Comme la personne allait encore à peu près bien jusque-là (enfin..., toutes proportions gardées), les médecins vont pouvoir parler de dégradation soudaine. Et bien sûr, ils vont tout d'un coup oublier que cette dégradation a toutes les chances de venir de l'augmentation de la dose de morphine et autres analogues d'opiacés. Ce qui fait que les médecins vont avoir l'opportunité de considérer la personne comme étant en état terminal.

Ce qui leur donne l'autorisation de tuer en donnant encore plus d'analogues d'opiacés (effectivement, morphine, benzodiazépine et autres). Et cette fois en augmentant les doses pratiquement chaque jour. Et bien sûr en supprimant l'alimentation, puis l'hydratation.