yoyo : dépression ou symptome de sevrage

Bjr ,une question qui me trotte depuis plus d un an et demi, comment reconaitre la depression ou les effets des ad ainsi que le sevrage???ce sont quasiment les memes non??
Pour ma part on me parle de depression mais je ne me
Sent pas depressif,c est vraiment physique,acouphene,manque d energie fatigue,vertige,un
Mal etre total
J ai resumer car il y en a tellement...
Merci pour c est videos

re bonsoir et bienvenue sur le forum d'information et d'entraide au sevrage

Il faudrait peut être que tu nous en dise plus :

Quelle drogues médicales, quelle durée de prescription, quelle dose, quelle mode de sevrage, depuis combien de temps....

merci


bonne soirée


michel

Je tiens également a te préciser que quasi tous nos médecins sont des menteurs et des négationnistes en ce qui conerne quasi tous les effets secondaires des saloperies qu'ils nous prescrivent :

Principes des addictions psychiatriques

http://survivantdespsy.sosblog.fr/survivants-psy-b1/Principes-des-addictions-psychiatriques-Toxic-psychiatry-b1-p89.htm
...
11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. »
La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible
...

Suite a une prise de steroide courte mais intense de retour en thailande je me suis senti tres nrv et irritable,une
Pile electrique jusqu au jour ou apres un entrainement de muscu j ai u une crise d angoise (tackycardie ect...)cela fait que depuis quelque mois que g su que c etais une crise d angoise...manque d information aupres des urgence et medecin pffff,et de jour en jour une fatigue intense s installer puis l enfer....vraiment l enfer un zombie,
Deroxat + thymoregulateur je sais plus le nom(j ai arreter trop dur mal aux yeux vision flou ,mal de tete)
Ensuite cymbata une grosse m....(6mois)
Puis seroplex un
Peu mieu mais pas o point de vivre normalement(4mois) mais voila deux mois sans ad j allais mieu sans meme si ct pas la
Grande forme j avais moin de fatigue plus d energie. Mais depuis une
Samedi j ai des
Acouphene et un
Mal etre intense qui revienne. Voila j ai resumer un peu,j ai jamais eu d idee sucidaire tout est vraiment physique,certe niveau emotion je me sent fragile. Voila comment differencier les symptomes de la
Depression,des ad,du sevrage...??

Dose cymbalya 90mg
Seroplex 15mg

Aparement que des victimes ici

bonjour

Oui nous sommes un forum de victimes des psychotropes

michel

Yoyo34 a écrit:

comment differencier les symptomes de la
Depression,des ad,du sevrage...??

C'est vrai que les symptomes sont souvent identiques.
Cependant, dans ton cas il me semble évident que ce sont les poisons qui t'ont provoqués tous ces symptomes.

Les symptomes de sevrage peuvent percister des mois, voir plus après l'arrêt total.
Cela arrive chez les métaboliseurs lents ( http://cytochromep450.sosblog.fr ) ou dans le cas de sevrage trop brutal.

bonne journée


michel

Merci michel. Comment sen sortir alors dans c k la faut pu rien prendre. Vive la medecine

Non, effectivement, il ne faut surtout plus prendre de poisons chimiques.
Le corps avec le temps va éliminer, a sa vitesse.
Dans certains cas, seul le charbon végétal activé peut faire avancer un peu les choses.
Et la neuroplasticité de notre SNC fera le reste après.

Snc??

système nerveux central

Bonjour Michel,

Peux-tu m'en dire un peu plus sur le charbon activé végétal et ses vertus.
Penses-tu qu'il serait judicieux d'en faire une cure à 7 mois de post sevrage ?

J'espère que tu vas bien ? Donnes des nouvelles de temps à autres.

Pierrette

Oui dis nous en plus

bonsoir pierrette

Il faut voir sur internet :

http://fibromialgie.sosblog.fr/Premier-blog-b1/Le-charbon-active-la-meilleure-pompe-a-poison-b1-p92.htm

Chez moi, il n'y a pas de résultat immédiat mais j'espère que cela m'aide sur le long terme.
Mais j'ai rencontré une victimes des psychotropes en post-sevrage sur internet qui avait des retours de symptomes dés qu'il arrêtait la charbon...

Par contre chez certaines victimes, dont moi, il y a un certains nombre d'années, le charbon accentuait considérablement mes symptomes de sevrage.

Alors bon...rien de garantie, mais d'après ce que j'ai lu, pas de danger, il semble.

PS : uniquement en boutique bio !!


bonne soirée

michel

Le charbon végétal, j'en prenais souvent par petites cures car il agit beaucoup et positivement sur les problèmes intestinaux...

Depuis que je suis sur le forum, j'ai parfois lu qu'il fallait éviter d'en prendre en plein sevrage car il absorbe bcp de choses sur son passage et donc si pris trop près des prises de nos foutues drogues, il accentue les symptomes de sevrage...

Mais je pense qu'effectivement pris au bout de quelques semaines de fin de sevrage il peut aider à "nettoyer"...

Enfin, c'est juste mon idée...
Chris2  

crisbiquinqua a écrit:

j'ai parfois lu qu'il fallait éviter d'en prendre en plein sevrage car il absorbe bcp de choses sur son passage et donc si pris trop près des prises de nos foutues drogues, il accentue les symptomes de sevrage...

 

bonjour christine  

Effectivement, c'est a éviter pendant le sevrage.

michel

Mais les ad soulage ou guerisent la depression ??

Yoyo34 a écrit:

Mais les ad soulage ou guerisent la depression ??

A mon sens, les antidépresseurs, n'agissent en rien sur la dépression et absolument pas sur le "moral", mise a part le fait qu'ils l'aggravent et transforment la victimes en dépressifs dépendants a vie.
Le fait que les antidépresseurs détruisent le système dopamimnergique, qui lui est le vrai sytème du "bonheur" et de la récompense en est, a mon avis une preuve ( http://survivantdespsy.sosblog.fr/survivants-psy-b1/Principes-des-addictions-psychiatriques-Toxic-psychiatry-b1-p89.htm ).

http://adsinefficaces.sosblog.fr
http://antidepresseurs.sosblog.fr

Cependant les propriétés amphétaminiques permettent a des personnes qui ont du mal a "bouger" de se sentir moins fatiqués.
C'est pour moi le seul seul effet positif de ces merdes abobinables.


michel

Voici un texte qui parle des lésions occasionnés par les antidépresseurs :

http://translate.google.fr/translate?sl=tr&tl=fr&js=n&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.antidepressantsfacts.com%2Fpinealstory3.htm

4 Effets secondaires: le retrait ou la lésion cérébrale?
S antidépresseurs ISR n'ont certainement pas augmenter votre taux de sérotonine dans une manière douce. Ils sérotonine d'être retirée de la fente synaptique Prevent. En conséquence, beaucoup d'excès de tir a lieu et, par conséquent plus de sérotonine reste dans la fente synaptique. De cette manière, l'(réception) sont bombardés avec des récepteurs de la sérotonine post-synaptiques. Selon Gary Null , Ph.D., tout cela sur la stimulation provoque une diminution du nombre de récepteurs post-synaptiques. Selon l'intensité et la durée de blocage de la recapture, autour de 30% à 40% des récepteurs post-synaptiques sera éliminé (Eli Lilly, le fabricant du Prozac, ne savait au sujet de la disparition des récepteurs de leurs expériences de laboratoire). Il n'est pas établi si oui ou non des récepteurs jamais revenir après l'arrêt de l'ISRS antidépresseurs. Les dommages peuvent être permanents ou non.

Apparemment, ce n'est pas la seule neuro-dommages causés par les antidépresseurs ISRS. Dans une récente étude , les chercheurs ont vu des changements marqués dans les terminaisons axonales (terminaisons nerveuses) des neurones sérotoninergiques chez les rats traités avec des antidépresseurs ISRS. Les bornes ratatinés ou prennent la forme de tire-bouchon. Ces changements ont été similaires à ceux observés avec la sérotonine booster drogue " ecstasy "(MDMA). Dans les études avec des babouins qui ont été traités avec l'ecstasy, les chercheurs ont utilisé la tomographie par émission de positrons (PET) de prendre les scanners du cerveau d'entre eux. Les chercheurs ont constaté que l'ecstasy était toxique pour le cerveau et endommagé les terminaisons axonales (terminaisons nerveuses) des neurones sérotoninergiques. Ce dommage était encore présent dans les babouins 7 ans après l'arrêt du médicament. Les études chez l'homme qui avait consommé de l'ecstasy, documenté neurones sérotoninergiques dans le même dommage observé avec les babouins plus tard. De même, les dommages au cerveau ISRS antidépresseur induit observé dans les rats, peut être présent chez les humains aussi.

Auparavant, nous avons discuté d'un système sérotoninergique hyper-actif ISRS antidépresseur induit, pourrait entraîner des perturbations du cycle circadien (jour) et des quantités excessives de sérotonine, de la sérotonine dans la glande pinéale. Une autre situation dangereuse quand un système sérotoninergique hyperactif se produit, les causes d'une maladie appelée « Syndrome sérotoninergique ». Ceci est une condition potentiellement mortelle grave qui nécessite un traitement immédiat et adéquat.

Un système sérotoninergique sous-actif sera le résultat de (1) à la mise à feu de la partie endommagée des terminaisons axonales des neurones sérotoninergiques et / ou (2) les récepteurs éliminés au dendrites de la partie réceptrice du neurone sérotoninergique. Lors de l'arrêt, une activité sérotoninergique ISRS antidépresseurs diminue considérablement parce que les neurones ne sont pas capables de communiquer correctement avec l'autre plus. À la suite de cette activité sérotoninergique diminué, les effets secondaires se produisent, qui sont faussement défini comme «le retrait des effets secondaires."

Troubles sensoriels
Ces effets secondaires sont quelques-unes des chocs électriques fréquemment rapportés, zappe ou frissons dans la tête (cerveau) et / ou le corps, la lumière vacillante dans la tête, "tomber dans les murs" avec un "fourmillements" dans la peau. Ces phénomènes sont parfois si graves que l'individu qui a les vivre, très confus ou se sent comme étant sur le point de s'évanouir, de perdre conscience.

Il est frappant de constater combien la conscience semblent être impliqués dans ces «troubles sensoriels." Je pensais à un mécanisme neuronal indirect, responsable de ces phénomènes. La sérotonine est un neurotransmetteur inhibiteur. Un système sérotoninergique sous-actif serait plus pas inhiber d'autres neurotransmetteurs, comme la dopamine, l'acétylcholine ou libérée par les neurones cholinergiques du tronc cérébral (qui sont responsables pour le rebond extrême des rêves REM lors de l'arrêt d'un ISRS antidépresseurs). Par conséquent, ces neurones seraient commencer à tirer excessivement, causant des effets secondaires tels que décrits ci-dessus.

Une autre explication pourrait être que les neurones sérotoninergiques tirent leur trop impulsions à travers l'axone aux terminaisons axonales et des synapses, comme un mécanisme compensatoire pour la perte de l'activité électrochimique dans la fente synaptique. De cette manière, des éclats de sérotoninergiques décharges électrochimiques auraient lieu dans le cerveau. Les deux exemples de l'activité électrochimique dans le cerveau pourrait être définie comme l'activité épileptique excessive. (Voir le chapitre 2.a. (3) Nightmares et du cerveau antérieur du cerveau antérieur convulsions)

Activité épileptique
Une raison pour laquelle ces «troubles sensoriels" les effets secondaires ne sont pas reconnus comme une activité épileptique, peut-être parce qu'ils ne sont pas les crises d'épilepsie à part entière et qui sont visibles pour les autres que nous connaissons. En fait, l'activité peut se produire des crises d'épilepsie petit mal appelés «absences». Les absences sont blancs dans la mémoire à court terme qui restent invisibles pour l'observateur. Les chercheurs Hutt et Gilbert de l'Université de Keele en Angleterre, a effectué des tests sur les enfants atteints d'épilepsie, dont ils se servaient de torches stroboscope. Ces lampes de poche induits 18 absences par seconde que cela s'est produit chez les enfants épileptiques.

Cela m'a rappelé les problèmes que certains anciens ont rapporté que les utilisateurs ISRS antidépresseurs avec clignotant rayons du soleil à travers les arbres quand ils avaient eux dans une voiture qui passe, ou qu'ils faisaient quelque chose qu'ils ont été oubliés au milieu du processus de le faire. Ces problèmes, ainsi que les autres effets secondaires, pourrait être lié à l'activité épileptique, peut-être dans le cerveau antérieur? Certains étaient des utilisateurs ISRS antidépresseurs encore plus démunis, ils ont développé des crises d'épilepsie à part entière, tout en prenant le médicament, qui est resté à l'arrêt.

Un autre facteur pourrait être une glande pinéale dysfonctionnement de l'activité épileptique. Dans 3 des glande pinéale articles PubMed, ainsi que son neurohormone mélatonine sont discutés par rapport à des crises d'épilepsie. Des changements importants ont été trouvés dans les «niveaux de mélatonine jour-nuit pendant convulsions, compatibles avec l'hypothèse que la mélatonine a une fonction inhibitrice sur l'activité du système nerveux central." ( 1 ) Les patients atteints de crises d'épilepsie avaient "une sécrétion urinaire significativement plus faible de la mélatonine, ce qui pourrait indiquer que la mélatonine a un effet protecteur sur les saisies" ( 2 ) et la glande pinéale et la mélatonine "exercer une influence majeure dans le contrôle de l'activité électrique du cerveau et se sont révélés être impliqués dans les mécanismes de crises et de sommeil ". ( 3 )

Attiré par la glande pinéale attiré mon attention particulière comme un organe sensible magnéto. Utilisateurs ISRS antidépresseurs premiers ont déclaré que les chocs électriques, zappe ou frissons à travers la tête (cerveau) et / ou du corps, ainsi que le scintillement de la lumière dans la tête, avec une augmentation de la gravité lorsque vous travaillez derrière un écran d'ordinateur. Les écrans d'ordinateur sont connus pour émettent des ondes électromagnétiques de basse fréquence. Sachant que les champs électromagnétiques (CEM) affectent la sérotonine, la mélatonine et la glande pinéale, par conséquent, ces ondes électromagnétiques pourraient déclencher l'activité épileptique en modifiant les fonctions de la glande pinéale. Voici un champ de recherches pour établir si post-ISRS antidépresseurs Ces effets secondaires sont en effet de nature et si forebrain épileptiformes saisies-upgrades Le sérotoninergiques, dopaminergiques ou cholinergique ainsi que la glande pinéale sont impliqués.

Hypoglycémie (faible glycémie)
R amo Kabbani, le directeur des survivants Groupe de soutien Prozac (PSSG) en Angleterre, a développé des crises dans le mois en cours Prozac. Elle avait quatre EEG, dont trois se sont avérés anormaux mais peu concluants. Cela signifie qu'il y avait une anomalie mineure là, mais ils ne savaient pas quelle était la cause et ils ne se souciait pas enquêter plus avant. Rappelez-vous le cas d'Epstein et Ervin (voir chapitre 2.a. (3) Nightmares et du cerveau antérieur du cerveau antérieur convulsions), dans laquelle a également révélé un pic accent EEG mal défini chez une femme qui éprouvait des convulsions.

Un fait intéressant que Ramo a été découvert, que chaque fois quand elle a eu une crise ou d'un zap chacun des niveaux de sucre a chuté à des niveaux extrêmement bas. Les autres utilisateurs (ancien) qui ont eu des convulsions et Prozac zaps, qui ont contacté la ligne d'aide de la PSSG en Angleterre, ont tous trouvé qu'ils ont un faible taux de sucre dans le sang. Faible taux de sucre dans le sang, ou glycémie faible, les taux sanguins de glucose descendent trop bas quand vient à alimenter l'activité de l'organisme. Cette condition est appelée «hypoglycémie», lorsque le corps n'est plus en mesure de maintenir des niveaux normaux de glucose dans le sang. Les niveaux de glucose sont surdéterminé par la façon dont le glucose rapide entre et sort de la circulation sanguine. Il laisse dans le sang lorsque le glucose pénètre dans le cerveau, qui a besoin d'un approvisionnement constant de celui-ci pour fonctionner correctement.

Participation de la glande pinéale dans les autres articles de PubMed a été discuté dans la régulation du métabolisme du glucose dans le cerveau ( 1, 2 ). Dans les études animales neurohormone mélatonine de la glande pinéale a été trouvé à dire nettement augmenté à la fois le niveau du cerveau et du sang du métabolisme du glucose en augmentant les glucides en glucose ( 1, 2 ). J'ai mentionné précédemment que l'augmentation Docteur Tracy nous a appris que dans le moment de la sérotonine, produit rushes de l'insuline, la baisse des niveaux de sucre et chimiquement hypoglycémie induisant (faible taux de glucose dans le sang) de cette façon. Dans une autre étude sur des animaux a conclu qu'il a été publié dans PubMed hypoglycémie induite par l'insuline a également affecté les glandes surrénales et provoqué une diminution radicale de la sérotonine dans la glande pinéale. ( 1 ) Cela pourrait conduire à des perturbations dans la sécrétion de mélatonine après laquelle les niveaux de glucose dans le sang peuvent tomber encore plus bas.

Epilogue
Q ue ou non la fonction de la glande pinéale est affecté par ISRS antidépresseurs, que ce soit en raison d'une déficience métabolique, ou les terminaisons nerveuses endommagées et des récepteurs sérotoninergiques, ou en raison d'un système sérotoninergique hyperactif, doit être établie. Les perturbations pourraient entraîner des dysfonctionnements glande pinéale un rythme circadien de la sécrétion de la mélatonine dans le naturel, ainsi que des troubles du métabolisme du glucose dans le cerveau et une diminution globale de cerveau et le sang des niveaux de glucose. Par conséquent, la défense naturelle de l'activité épileptique dans le cerveau va tomber, ainsi que la défense naturelle à un système endocrinien hyperactif.

Vous m avez l air caler sur le sujet. Alors quel conseil donnerais nous ???rien pendre?triptophane?tyrosine?quand je bois de l alcool j ai pas de symptome pendant 2jours c est quand meme bizard

Non, je ne suis pas caler.
Mais pour rester en vie, au jour d'aujourd'hui, il est fortement conseillé de s'informer sur internet et de ne jamais faire confiance a un médecin.

Je te répète que, en particulier si tu es métaboliseur lent, il ne faut rien prendre, surtout de la chimie de synthèse !

L'alcool n'est pas non plus une solution.
L'alcool agit exactement comme les benzodiazépines.

J ai efectivement un metabolisme lent. Apres le Net on trouve de tout et de Rien. Je ne sais pas du tout confiance aux médecins surtout aux psychiatres cela fait plus d'un an et demi que je cherche sur Internet des solutions mais à part les acides aminés je n'ai rien trouvé de plus il y a la kétamine apparemment qui est efficace se faire diagnostiqués en dépression majeure sans être dépressif c'est-à-dire ne pas pleurer et sans tristess c'est quand même bizarre